dimanche 28 décembre 2008

Les retrouvailles...

Chapitre 1 - Dimanche 09 Novembre 2008 : Nous
Tu as bien fait de ne pas rentrer...
Chapitre 2 - Dimanche 09 Novembre 2008 : Nous
Merci...
Chapitre 3 - Mercredi 12 Novembre 2008 : Eux
Réponse à notre jolie rencontre...
Chapitre 4 - Vendredi 14 Novembre 2008 : Nous
Notre nouvelle rencontre...
Chapitre 5 - Dimanche 16 Novembre 2008 : Eux
Que dire ? Que dire de plus ? Que dire de mieux ?
Chapitre 6 - Dimanche 23 Novembre 2008 : Nous
Le libertinage ou comment tirer le meilleur parti de l'autre...
Chapitre 7 - Dimanche 23 Novembre 2008 : Nous
Hôtel de mes envies, Hôtel de mes désirs...
Chapitre 8 - Dimanche 14 Décembre 2008 : Nous
Ils sont revenus

Ces retrouvailles ont été empreintes de plaisir et de chaleur.

Nous n'avons pas fait l'amour mais que de baisers, que de caresses, que de corps à corps avons nous échangé...
Nous sommes allés dans un bar gay pour la seconde fois, le "petit marais", à Nantes.

Il est toujours surprenant de voir des homos regarder des hétéros "s'échanger" ouvertement devant eux. Ils s'approchent en nous souriant, viennent à nous poser des questions : "Qui est avec qui ?", "C'est incroyable". Ils et elles sont trop ! Nous devrions être les premiers surpris de les voir s'embrasser mais non. Eux, ils ont l'habitude de se voir entre eux, s'embrasser, se toucher, se caresser mais de là à voir débarquer des hétéros échangistes... tout un programme...

Je revois encore ce jeune homo s'approcher, nous sourire, nous prendre dans ses bras en nous demandant s'il pouvait nous embrasser, une bise sur la joue, a-t-il précisé.

J'adore cette ambiance. On peut se laisser aller, sans pour autant faire l'amour, mais se laisser aller quand même. C'est bon, c'est délicieusement bon. La musique est enivrante, tout comme l'alcool. La chaleur monte vite dans cet endroit...

Nous avons passé une soirée fabuleuse comme toute celle que nous passons ensemble. Nous nous sommes retrouvé à 21h00 pour se quitter à 04h00. Je ne me souviens plus de tout tellement c'est allé vite, tellement c'était délicieux.

Mes amis, mes très chers amis, nous avons été très heureux de vous retrouver et nous avons hâte de vous revoir.

Voici le petit mot laissé par notre couple adoré, camarade de nos aventures libertines, ami de nos passions corporelles...

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Chers amis,

Pensée profonde un soir au coin du feu, je laisse aller le flot des images, des instantanés de la vie.
Le bonheur, souvent reviennent les amis.
Le bonheur est partout et à tout moment dans la vie, il se conjugue toujours avec une histoire d'amitié:
L'enfance, les amis de 30 ans, les amis de toujours, les amis perdus de vue; L'école, les copines de classe et puis les fiestas,les amitiés alcoolisées d'un soir, d'un été; Le boulot, les amis de galère, les amis de saison; les voyages, les amitiés outre-continents.

Et puis un tout nouveau genre d'amis, nos amis libertins. Amitié inattendue, inespérée. Amitié inédite, en devenir.
Une complicité intime et tendre. Quatre individus, deux couples que leur goût pour le plaisirs des sens, leur curiosité, leur envie de vivre quelque chose de plus, a réuni dans une relation qui pousse les frontières de l'amitié. Car grâce à cette profonde amitié, notre relation peut devenir charnelle et généreuse. L'amitié est la base de cette aventure à quatre, l'attirance physique en est le moteur. Leurs jolis minois sont craquants, leurs charmantes personnes dégagent un sex-appeal irrésistible. Le courant passe et nous électrise tous. Ce sont des sensations fortes, fraiches, fracassantes, frappa dingues...étourdissantes, ahurissantes, envahissantes, enrichissantes.

Une relation unique et une place unique dans nos cœurs nos corps et nos pensées. Soyez en assurés.

Pensée profonde , mais rares sont celles qui méritent d'être partagées, celle-ci je vous la livre puisque vous me l'avez inspirée.

Joyeux noël!

Tendrement, Séverine.

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J'aime ce texte, j'adore ce texte. Nous aurions pu l'écrire ainsi, à la virgule près, sans rien changer.

Il est certain que notre amitié, fusse-t-elle encore jeune, n'en est pas moins forte et véritable. Elle est le socle de notre relation. Le sexe s'appuie dessus. Il se pose tranquillement sur cette force tranquille. C'est grâce à cela que nous vivons avec tant de passion nos étreintes.

Je vous remercie d'être ainsi, entré dans nos vies. Tout y est merveilleux.

Vous êtes beaux, nous sommes aussi plutôt canon. Vous êtes intelligents, nous pensons l'être aussi. Vous êtes élégants, nous aussi. Vous avez tout pour plaire, idem. Vous vous aimez. Nous nous aimons.

Ce qui nous arrive est incroyable, incroyable.

Je vous embrasse tendrement tous les deux.

A très très très bientôt.

Benoit

Un peu de nous


Une de mes plantes vertes. J'aime bien les plantes vertes mais seulement les résistantes... Je n'ai pas les mains vertes...


Par contre, j'aime bien certain objet vert... objet de plaisir de ma chérie... chérie coquine.


Une des boissons "débile" de ma chérie...


Un détail de l'amour de ma chérie...


Mon délire du moment... Avis aux amateurs... nantesplay is my pseudo !


Une autre de mes passions.


Ma montre (qui n'est pas la mienne d'ailleurs) mais je l'aime bien. C'est un cadeau professionnel... Il faut bien que travailler serve à quelque chose...



Une de mes passions qui m'apaise. J'allume des bougies, encore et encore des bougies.


Celui par qui tout arrive !

Quelques photos prisent par moi, encore une passion.

Bises à toutes et à tous.

Benoit

le carnet intime de julie sautel

Elle est charmante, espiègle, vivante un peu fofolle mais surtout étonnante.
Elle nous invite à entrer dans sa vie, intime, dans ses envies, dans sa folie.

Visitez son blog.
http://sauteljulie.blogspot.com/

Il vous en dira plus...

Bises à toi charmante Julie.

Benoit

Pause...

...dans mes messages, dans mon blog, dans ma vie...

Le froid, le travail, le stress... tout cela m'engourdit le cerveau et fait fuir mes envies coquines...

Il y a aussi la rencontre avec notre joli couple mignon, toujours le même.

C'est la quatrième fois que l'on se voit. Il se passe un truc.

J'ai du mal à en parler. Le lien que nous sommes en train de créer est très fort. Nous pensons souvent à eux, ils pensent souvent à nous.

A chaque fois que nous nous voyons, nous parlons beaucoup et osons dire les choses, ce que nous ressentons, ce que nous vivons, ce que nous faisons.

Faire l'amour avec eux est magique. Nous sommes allés très loin sans pour autant être allé, encore, jusqu'au bout...

Y aura-t-il un "bout"... Il y en a déjà deux, alors je ne veux pas du troisième... Celui qui ferait que tout serait terminé. Non, je n'en veux pas.

Nous allons faire dorloter nos deux "bouts", H..., par nos deux chéries respectives et tout ira bien ainsi.

Je dois des excuses à Nadège et à Alexandra à qui je n'ai plus donné de nouvelles depuis plusieurs jours.

J'avais besoin de faire un break, de me poser, de réfléchir. Les fins d'années sont pour moi très difficiles, beaucoup de travail, stressant et aussi le souvenir de moments difficiles, dans une autre vie.

Bref. Les fêtes se passent.

J'aurais plaisir à continuer à discuter avec vous, bien au contraire. Même si nous ne nous sommes jamais rencontrés, j'apprécie de vous connaitre, de vous savoir heureuse, de vous savoir aimante et coquine...

Je vous embrasse toutes les deux très fort.

S....... et H..., nous avons hâte de vous revoir.

Nous avons programmé un week-end ensemble, ce samedi 3 Janvier. Nous avons hâte de vous revoir, de vous embrasser, de vous aimer.

La nuit va être longue...

Bises, bises, bises...

Cela me fait du bien d'écrire à nouveau.

Je vous embrasse.

Benoit

dimanche 14 décembre 2008

Ils sont revenus...

...de leur voyage de l'autre coté de l'Atlantique...

Chapitre 1 - Dimanche 09 Novembre 2008 : Nous
Tu as bien fait de ne pas rentrer...
Chapitre 2 - Dimanche 09 Novembre 2008 : Nous
Merci...
Chapitre 3 - Mercredi 12 Novembre 2008 : Eux
Réponse à notre jolie rencontre...
Chapitre 4 - Vendredi 14 Novembre 2008 : Nous
Notre nouvelle rencontre...
Chapitre 5 - Dimanche 16 Novembre 2008 : Eux
Que dire ? Que dire de plus ? Que dire de mieux ?
Chapitre 6 - Dimanche 23 Novembre 2008 : Nous
Le libertinage ou comment tirer le meilleur parti de l'autre...
Chapitre 7 - Dimanche 23 Novembre 2008 : Nous
Hôtel de mes envies, Hôtel de mes désirs...


Nous avons hâte de les revoir, de les embrasser, de les serrer dans nos bras...

Week-end de repos, de tendresse et de calins avec ma chérie et week-end en famille...

Portez-vous bien amies lectrices, amis lecteurs.

Profitez de ce froid pour rester bien au chaud, tout contre l'être qui vous est cher.

Je vous embrasse.

Benoit

mardi 9 décembre 2008

Je viens de baiser ma chérie...

...que j'aime...

Elle s'est approchée de moi alors que je travaillais sur mon pc portable.

Elle m'a enveloppé de ses bras, embrassé dans le coup, glissé ses mains le long de mon torse, mon ventre pour terminer sur mon sexe qu'elle a serré, caressé, enveloppé...

"Il est tout plein de sexe mon chéri" m'a-t-elle dit avec un grand sourire...
"Coquine va, c'est toi qui va être toute pleine du sexe de ton chéri... !"...
Elle me sourit... en plissant les yeux... comme j'aime...

Je me lève, l'embrasse, presse son sein droit. Sa langue pénètre ma bouche. Je la plaque contre la barrière de notre mezzanine, la retourne, pose ses mains pour qu'elle s'agrippe... Je descends le pantalon de sa tenue d'intérieur... Le satin glisse sur sa peau, tombe sur ses pieds qu'elle dégage doucement pour ensuite l'envoyer loin d'un coup de pied... J'en profite pour ouvrir ma ceinture, mon pantalon, sortir mon sexe tendu... Elle est à demi-nue...

Je me frotte contre le sillage de son cul qui est une véritable invitation au plaisir... Elle se cambre un peu comme pour mieux la sentir... Je prends ma queue de ma main droite pour glisser mon gland dans sa fente... Son sexe s'ouvre peu à peu, se mouille, s'écarte... De la main gauche, je viens toucher son clitoris, le faire rouler entre mes doigts, le caresser, le masturber... Elle est toujours agrippée à la barrière qu'elle sert de plus en plus fort.

Mon sexe s'avance un peu plus dans son vagin qui l'enveloppe petit à petit... Je pousse un peu plus. Ma main le lâche pour venir se poser sur sa hanche droite, ma main gauche fait de même sur sa hanche gauche... Je m'installe. Ma chérie se cambre encore un peu plus. Elle veut la sentir, elle la veut bien profonde, bien longue, bien dure... Le corps de ma chérie bouge au rythme de mes coups de rein... La barrière nous accompagne... Le bois craque à chaque fois que mon sexe pénètre son vagin... Humm...

Ma chérie est absente... Les yeux fermés, la respiration soutenue, les joues roses... ces signes ne trompent pas... Elle approche de sa jouissance... Je la regarde tout en continuant à la baiser. Je lui souris, l'embrasse sur la joue... Je veux qu'elle soit à l'aise pour son plaisir... Je saisis ses mains pour qu'elle libère la barrière et la retourne vers notre canapé...

Elle pose ses coudes sur le rebord. Son corps forme un angle parfait... Cette position est idéal pour elle. Mon sexe finit de parcourir le peu de chemin qu'il lui restait pour finir par s'enfoncer totalement en elle... Elle commence à jouir, elle se libère, je l'entends, je la sens...

J'accélère mes coups de rein...Je vais aussi jouir mais je veux l'attendre, je veux qu'elle vienne avant moi... J'attends patiemment, surement tout en accélérant... Humm, exercice difficile mais je tiens bon...

Ca y est, elle jouit, elle crie son plaisir qui se dégage de ton son corps, par tous les pores de sa peau, elle explose... et je la suis... Je hurle ce bonheur que j'ai de tenir la femme que j'aime par les hanches... Mes couilles se vident en elle, son vagin se remplit de mon sperme... Je continue à venir frapper ses fesses de mon bassin... Elle s'écroule sur le canapé et je reste là, plié en deux, les mains sur mes cuisses... Mon cerveau va exploser de plaisir... Tout se bouscule, tout va très vite dans ma tête...

Je remonte mon pantalon, m'approche de ma chérie qui se retourne, s'assoit, me regarde, me sourit, me caresse la joue, m'embrasse...

Bonne journée mon amour...

Je t'aime...

Sois heureuse mon bel amour...

A ce soir...

lundi 8 décembre 2008

Vive les chauves...

...qui s'assument, respirent par le crane, réfléchissent avec leur cerveau... Sont eux-mêmes en somme.

Qu'y a-t-il de plus beau qu'un joli chauve ? Un joli chevelu peut-être, et encore.

Le chauve est gentil, aimable et attentionné.

Mesdemoiselles, prenez un chauve, déshabillez le et allongé, sur le dos, sur un lit...
Regardez le sourire, être heureux. Le chauve adore cela.

Maintenant, vous lui écartez les jambes et les bras... C'est juste pour l'aérer un peu... Le chauve peut parfois sentir fort... Vous verrez alors son sexe se tendre... Phénomène incroyable que je vous révèle, mes amies... Vous refermez ses jambes et son sexe redescend ! Vous les écartez et il remonte. Est-ce l'aération naturelle provoquée lors de l'écartement qui entraine ce phénomène physique ? Je ne sais pas. Ma chérie a beau m'ouvrir, me refermer les jambes, les rouvrir encore et encore, il se passe toujours la même chose sans que l'on sache pourquoi...

Et le chauve, lui, pendant ce temps là souris... les yeux fermés.

Maintenant que vous l'avez là, sous la main, je vous propose cette petite expérience. Vous l'allongez sur le lit de sorte que sa tête soit prêt d'un bord, presque dans le vide... Là vous vous approchez, en reculant, vous pliez les genoux et vous venez poser votre sexe sur son front et le haut du crane... Vous faites un petit mouvement de bassin de l'avant vers l'arrière et vous fermez les yeux... Le chauve adore et vous aussi croyez moi. De temps en temps, vous accentuez le mouvement vers l'arrière de sorte que votre chatte glisse sur son nez et vienne se poser sur sa bouche... Sa langue va alors sortir et fouiller votre intérieur...

Humm, quel bonheur. Le chauve bande dur ! Et vous, vous mouillez mademoiselle.

Avancez à nouveau et recommencez l'expérience. A nouveau sur son crane, vous glisserez encore plus... Le chauve exulte... et il bande toujours dur...

A ce moment là, vous le laissez faire. C'est mécanique. Il se lève, se retourne et de sa queue vous empale profondément. Vous, toujours jambes pliées, recevez sa queue au plus profond de votre vagin, mouillé pour l'occasion...

Étonnamment, bien qu'il soit chauve, son sexe a des poils. Il faut le savoir.

Il pose ses mains sur vos hanches et vous envoie un nombre incroyable de coups de rein. Vous n'en pouvez plus... Encore et encore des coups de rein... Votre sexe s'ouvre au fur et à mesure que le sien se gonfle. Il va plus loin, plus fort... Vous criez, vous hurlez de plaisir... Le chauve accélère encore et jouit, avec vous, se vide dans votre vagin...

Vous êtes là, tous les deux, rompus de plaisir, à ne rien dire... Il sort de votre intérieur, doucement, s'approche de vous et vous prend dans ses bras. Le chauve aime être attentionné.

Il vous sert très fort, vous embrasse dans le coup, caresse vos seins. Il attrape un pull, à coté, le glisse autour de votre coup, enfile vos bras dans les manches, le fait redescendre sur votre corps pour vous mettre au chaud, ne pas avoir froid. Le chauve est attentionné.

Il vous retourne vous embrasse, vous souris. Le chauve est aimant.

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Mes amis les chauves, mes amis les dégarnis (chauve en devenir), soyez vous-mêmes et cessez de vous poser mille questions. Assumez votre particularité physique, vous plaisez ainsi aux femmes... Tout le monde ne le sait pas, mais la chauvitude apporte son lot de mystère, d'envoutement, d'inquiétude... Les femmes adorent ! Un sourire et tout s'efface, elle veulent vous connaître...

Pour vous, les dégarnis, chauve en devenir (J'aime bien cela)... détendez-vous. Le stress augmente la chute des cheveux. Entre nous, vous pouvez vous détendre mais ce n'est pas pour autant qu'ils vont repousser... Désolé ! C'est juste histoire de se détendre parce que stresser ne changera rien. Assumez-me vous tel que vous êtes, voila tout. Je sais, facile à dire, difficile à vivre. Je suis passé par là, je sais de quoi je parle.

Tentez un truc. Vous avez prévu des vacances ? Oui, bien sur, comme tout le monde... Un mois avant, vous allez chez le coiffeur et vous vous faites un coupe plus courte, cheveux moins longs, moins de volume... 15 jours après, vous y retournez, toujours pour la même chose... Histoire de vous habituer à des cheveux plus courts... et les vacances arrivent... Là, c'est le grand saut.

Vous vous glissez sous la douche, un matin, sans rien dire à personne... Vous prenez votre rasoir que vous aurez préparé la veille, posé là, près du lavabo... Sa lame brille. Il vous attend, il sait pourquoi vous l'avez préparé. Il est heureux. Vous ne le savez pas mais lui sait que ce moment va contribuer à votre bien être, à votre bonheur, à vous libérer d'un poids qui pèse sur vos épaules depuis trop d'années...

Vous le saisissez, encore mouillé sous votre douche et vous commencé, doucement, à vous raser. Faite le sans réfléchir. Je vous rappelle que vous êtes en vacances... Vous pouvez vous rassurer en vous disant qu'en une semaine, deux semaines, cela va repousser... Oui, disons cela.

La lame glisse sur votre crane mouillée... De temps en temps, vous passez votre main sur le résultat, chercher le cheveux oublié, la touffe cachée derrière... Encore un petit coup là, ha ici aussi... Et puis, à un moment, plus rien ! Plus rien si ce n'est la sensation d'une peau lisse... Berk.... Autant vous le dire tout de suite, cette sensation est horrible la première fois... On a l'impression de toucher... je ne sais quoi en fait. C'est vraiment troublant. C'est une partie de soi que l'on découvre.

Vous attrapez la serviette la plus proche pour sortir de ce cauchemar... Vous vous essuyez et le moment arrive : vous vous approchez de la glace ! Vous relevez la tête, la sortez de la serviette que vous faites glisser doucement, sur votre front, sur vos yeux, encore fermés, sur votre nez. Vos mains s'arrêtent sur votre bouche... Votre souffle est chaud, vous le sentez à travers le tissu de la serviette... Vos yeux sont toujours fermés... A la fois vous n'osez pas regarder, à la fois, vous voulez savoir...

Vous vous jetez dans le vide, la serviette toujours sur la bouche... Le cri d'horreur que vous allez faire ne réveillera personne, au cas où... Vos paupières se lèvent doucement... La lumière pénètre vos pupilles, la netteté se fait pour voir le bas du miroir... votre bas ventre apparaît... humm pas mal... Vous levez la tête doucement, maintenant votre ventre... ha cette brioche de malheur... Il faut vraiment que je me remette à faire des abdos moi... votre torse... humm un torse de mec... la serviette, vous la voyez dans le miroir, c'est le signe que vous approchez... Et là, vous ne tenez plus, vous levez la tête...

....

Le temps ralentit. La serviette, dans un mouvement lent, tombe au sol, sur vos pieds. Vos mains sont sur vos joues, vos yeux se regardent. Vous ne souriez pas de tant de surprise, de stress... Vous vous regardez, vous vous approchez du miroir, tournez la tête vers la droite, vers la gauche, vers le bas... Vos mains se posent, à plat, sur le rebord du lavabo... Vous vous approchez encore... Étonnamment, vous vous sentez bien... et vous vous trouvez beau !
En plus de vos cheveux, votre rasoir a retiré un poids. Il avait raison, vous le regardez en souriant. Votre main droite parcourt votre crane, devant, derrière, sur les cotés, tout est lisse. C'est presque agréable. Vous commencez à vous habituez... Vous vous souriez. Vous vous sentez bien, merveilleusement bien. Pourquoi ne l'ai-je pas fait plus tôt ? Tout s'envole, les doutes, les questions, le jugement des autres, de vos amis, de votre famille... Qu'importe, vous vous sentez bien, vous vous moquez bien de ce que les autres vont dire, penser ou faire. C'est votre vie, votre choix, votre bien être...

Vous êtes heureux. Vous avez balayé, en quelques coups de rasoir, un poids de plusieurs années sur vos épaules. "Bordel, pourquoi ne l'ai-je pas fait plus tôt ?"

Vous vous baissez pour récupérer la serviette au sol que vous nouez autour de votre taille. Vous vous regardez, vous vous sentez un autre homme... C'est l'occasion de le faire savoir à votre tendre aimée... Vous sortez de la salle de bain...



Mes amis, ce texte est pour vous. Il m'a été inspiré lors d'un échange sur Msn avec quelqu'un qui se reconnaitra. J'ai vécu tout cela. Je sais par quoi l'on passe. Je vous encourage à vous libérer de tout mon coeur. Vous ne vous sentirez que mieux.

Bises à vous hommes !

Benoit

Les plaisirs simples de la vie !

On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié, après avoir eu un enfant, et ensuite, après en avoir eu un autre...
Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront. On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.

On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint, quand on possédera une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite...

La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que le moment présent.
Si ce n'est pas maintenant, quand alors ?
La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer.
Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant qu'il est encore temps.
Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer, "La Vraie Vie !" Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer.
Et alors la vie allait commencer !!!!
Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie.
Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur. Le bonheur est le chemin.
Ainsi passe chaque moment que nous avons et plus encore : quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps et, que l'on se rappelle que le temps n'attend pas.
Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l'été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.

Le bonheur est une trajectoire et non une destination !

Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux. Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie.

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Merci Valou !

J'aurais aimé écrire ce texte tant il me correspond.

Mes amis s'étonnent souvent lorsque nous sommes ensemble sur le fait que je m'extasie lorsque je passe sur un pont, au dessus de l'eau, lorsqu'une bruine tombe et vient rafraichir mon visage, de l'odeur de la poussière, sous la pluie, me promener dans le froid, courir, faire le marché avec ma chérie le dimanche matin, à Talensac (Amis Nantais, je vous salue !)
Toujours, dans tous ces moments, je souris, presque "bêtement", à la vie. Et j'aime cela.

C'est si bon, tellement bon. On se sent quelqu'un, on se sent bien, on se sent heureux.

Le bonheur, votre bonheur est à la porté de vos mains, de vos yeux, de votre esprit. N'oubliez pas l'essentiel et cessez de regarder le futile.

Je n'ai pas la prétention de donner des leçons. Simplement, je souhaite vous faire partager mes choix de vie, mes envies et ce qui contribue à mon bien être. Si cela peut vous faire comprendre les choses comme un jour, je les ai compris... ?
Non, comme un jour, j'ai commencé à les comprendre... !

Benoit

samedi 6 décembre 2008

La vie est belle...

...et merveilleuse.

La vie est faite de choix, de plaisir et d'envie.

J'ai compris qu'il fallait se contenter de plaisirs simples, être respectueux, attentionné et donner sans compter. Qu'importe, la vie vous le rendra.

Elle vous apportera le bonheur, le bien être, le plaisir des rencontres.

Tout est simple lorsqu'on regarde la vie simplement.

Je suis saoul, je suis passé voir un ami et nous avons bu, ri, parlé de tout et de rien. J'ai du mal à écrire. Tout se bouscule dans ma tête. Il faut que j'aille prendre une douche, ma chérie ne va pas tarder... Nous sortons ce soir. Je l'aime.

Je l'aime follement. Elle me plait, m'inspire. Je n'ai jamais été aussi heureux avec quelqu'un. J'ai peur parfois de la perdre. Je ne vois pas pourquoi elle me quitterai. La vie est pleine de surprise, bonne ou mauvaise. Qu'importe, si un jour elle devait partir si elle part heureuse pour l'être encore plus... avec quelqu'un d'autre. Je pense sincèrement ce que j'écris même si je souffrirai terriblement d'un tel choix mais elle ne m'appartient pas. Oublie cela Benoit. Il n'y a aucune raison à cela. Quand bien même cela devait arriver, tu n'as rien à te reprocher. Tu aurais fait le maximum, tu l'auras rendu heureuse.

Bref. Ma chérie est là et bien là. Je l'aime, elle m'aime. Vivons ce que nous avons à vivre mon bel amour. Je prends et je vais prendre soin de toi, t'apporter tout ce que tu souhaites...

Tu es mon bonheur. J'aime lorsque tu me regardes, lorsque tu me dis que je suis beau, que je te plais. Je n'ai jamais ressenti cela avec autant d'intensité, avec autant de partage, avec autant de plaisir.

Je t'aime belle Séverine. Je t'aime et je remercie la vie, l'univers tout entier qui a conspiré à notre rencontre, à notre bonheur, à notre plaisir.

Je t'invite pour les 20 prochaines années à m'accompagner, à prendre ma main, à m'embrasser, à me regarder, à me sourire, à me caresser tendrement, à pleurer avec moi, à jouir ensemble, à me sucer longuement... Viens près de moi, sur mon épaule vient t'appuyer, sur mes mains te caresser, sur mon sexe te glisser, sur ma bouche m'embrasser... Vient ma chérie, vient...

L'alcool me fait écrire, les mots me viennent et se dépose sur cet écran. Je ne réfléchis pas, je parle, j'écris, je me laisse porter. J'ai mis de la musique en fond sur deezer. Je le laisse faire ses choix et voila qu'il tombe sur Grand Corps Malade... Je l'adore, nous l'adorons...

Je t'ai écrit un nombre incalculable de lettres... J'aurais aimé t'écrire de si belles chansons...

Il est 19h59 et il faut que j'y aille. Tu ne vas pas tarder à arriver et nous allons partir aussitôt pour un diner. Je dois me faire beau. Je t'aime.

Je lâche ce billet sans le relire, comme il m'est venu sans me poser de question. J'aimerai un jour vivre une journée sans réfléchir, sans savoir.

Je t'aime mon amour.

A tout de suite.

Je t'aime.

Je t'aime.

Je t'aime.

Tu me plais.

A nos princesses aimées et adorées...

Cliquez ICI en ouvrant une nouvelle fenêtre, laissez vous porter par la musique et lisez ce qui suit...

Il est des êtres qui nous surprennent, nous envoutent, nous emportent avec eux sans même sans rendre compte, par plaisir, par gentillesse, par amour de l'autre... sans rien attendre...

Nadège fait parti de ces personnes, Alexandra fait parti de ces personnes, Séverine & Séverine font parti de ces personnes...

Je vous remercie, mes amies, de tous ces voyages passés avec vous, de toute cette tendresse que vous dégagez, de toute cette gentillesse qui vous anime... Je vous sens heureuse, épanouie... Vous me plaisez beaucoup. Je ne veux pas heurter vos hommes respectifs car ils sont les acteurs de votre bien être, de votre bonheur, sans eux, la magie de la vie n'opère plus. J'espère que l'amitié masculine fera son effet, je le souhaite dans tous les cas.

Je vous embrasse tendrement toutes les trois. Nous aimons à espérer, ma chérie et moi, faire votre rencontre, ensemble, vous découvrir tous les 4 dans une soirée simple, tranquille, alcoolisée avec de la musique... qui nous ferait voyager tous les 8 vers un avenir teinté d'envies, de désirs... pourquoi pas de plaisir... ;-) où chacun resterait avec sa moitié, à se caresser, à s'embrasser, à regarder les autres faire de même, les plus aventureux feront l'amour, les autres les regarderont... hummm....

Pour vous, j'ai créé un invité sur mon blog que vous pourrez utiliser pour venir me laisser vos textes, vos invitations aux voyages, vos blessures, vos peurs et vos envies les plus obscures... Je vous adresse un mail à chacune avec le mot de passe...

Je ne me pose aucune question quant au respect que vous aurez sur ce blog, quant à ce que vous y marquerez, quant à ce que vous y ferez.

En attendant de vous rencontrer, je vous envoie mille baisers.

Soyez heureuses, portez-vous bien, prenez soin de vous...

Ma jolie chérie que j'aime se joint à moi pour vous embrasser mesdemoiselles et messieurs, hommes et protecteur de ces princesses...

Benoit

Je me masturbe....

...en pensant à toi : femme de mes rêves, femme de mes nuits, femme de mes envies, femme de ma vie...

Je prends mon sexe dans ma main droite et vient caresser, doucement, mes couilles avec l'autre main... Je les presse, les fais rouler...
Mon sexe grossit. Je l'enserre comme pour l'en empêcher...cela ne fait qu'accentuer sa taille...

Je me masturbe en pensant à toi, mon bel amour...

Tu t'approches doucement. Je suis assis sur le canapé. Tu t'agenouilles devant moi et sans attendre, tu saisis mon sexe, pas encore tout à fait dur, pour le prendre dans ta bouche... Tu me suces et j'exulte... Ta bouche monte et descend sur ma grosse queue qui t'envahit complètement... Mes bourses se tendent, mes couilles remontent de plaisir... Tu sais y faire. Tu viens, de ta main libre, les faire redescendre doucement pour ne pas me faire mal... pour mieux ensuite les masser, pour mieux les détendre... Je bande dur...

Je me masturbe en pensant à toi, mon bel amour...

Je te vois saisir un objet dans ta boite à plaisir, ta boite à bonheur... C'est un god, de forme conique avec la base évasée... Tu l'as bien choisi. Tu le poses au sol tout en continuant à me sucer... Il tient debout, seul... Je pose mes mains sur tes tempes, enfouis mes doigts dans tes cheveux, exerce une pression sur ton crane... Tu me fais du bien, j'ai envie de te faire du mal, tu m'excites... Mes mains relaches et descendent le long de ton coup, effleurent tes épaules, tes bras, tes avants bras et viennent se poser sur mes cuisses. Tu continues à me sucer, c'est délicieux...

Je me masturbe en pensant à toi, mon bel amour...

L'objet sexuel est posé, bien installé... Maintenant il n'attend plus que toi... Tu ne te fais pas attendre et tu descends doucement sur lui... Ta chatte est déjà mouillée, de plaisir, de désir... Qu'as-tu fait avant de venir ??? Il ne suffit de peu pour que tu descendes doucement et que l'objet te pénètre de tout son long... J'ai envie d'être à sa place, envie d'être là, sous toi, sous ton con... à l'écarter pour mieux le pénétrer... Tu me suces toujours, c'est un bonheur... Je vois monter et descendre ta bouche sur ma queue, monter et descendre ton corps sur cet objet... Le veinard !

Je me masturbe en pensant à toi, mon bel amour...

Deux hommes apparaissent... de part et d'autre de toi... leurs queues tendues... Tu restes accroupies mais relèvent la tête... Tu me regardes, interrogatrice, un sourire sur tes lèvres... Que me réserves-tu mon amour ? C'est mon rêve après tout...
Je lis en toi comme dans un livre ouvert... Cela me plait, me fascine. Je connais tes désirs, tes envies, tes pensées les plus noires, les plus épanouissantes... Ils s'approchent et viennent frotter leurs queues contre tes joues... Quel spectacle... Tu me souris... Je continue à voir ton corps monter et descendre... Je l'avais oublié lui... Il continue à prendre son pied le coquin avec ma chérie. Un vulgaire bout de plastique mou est en train de baiser ma chérie... L'enculé !

Je me masturbe en pensant à toi, mon bel amour...

Tu prends chacune de leurs queues dans chacune de tes mains... Tu les masturbes en me regardant... Tes yeux se plissent... Tu joues ta salope... Faire bander trois hommes en même temps t'excite, je le sais, je le sens... Tu es libérée, totalement libérée, tu es bien... Aucun jugement, aucun tabou... Du plaisir, rien que du plaisir... Je te sens heureuse... Tu continues à les masturber encore un peu plus vite... Ils ne bougent pas, sont juste là pour toi, pour te satisfaire, pour jouir sur toi... Je ne suis pas en reste... Je me lève et m'approche de toi... Je prends ma queue dans ma main et parcoure ton visage, ton front, passe sur ton nez, effleure tes yeux, ta joue... De ma libre, un doigt pénètre ta bouche, l'écarte pour y mettre ma queue... Je ferme les yeux... Cette sensation est merveilleuse... Mes mains prennent ton visage... Je te tire vers moi pour mieux pénétrer ta bouche... Je te recule, je te tire à nouveau... Je recommence encore et encore... Tu continues à masturber ces hommes nus, inconnus, queues tendues...

Je me masturbe en pensant à toi, mon bel amour...

Je t'entends gémir... Ton excitation est à son comble... Trois hommes... Je sens qu'ils viennent eux aussi... Leurs queues sont droites, apparaissent, disparaissent dans tes mains... La mienne, elle aussi, joue à cache cache avec ta bouche... Je vais jouir... Je vais jouir ma chérie... Tu le sens, tu les sens... Nos queues se gonflent, deviennent encore plus dur... Tu accélères tout, tu nous maitrises, c'est toi qui décide de notre plaisir... Tout va très vite... Tes mouvements sont rapides... Je jouis mon amour, je jouis dans ta bouche... Tu me reçois, tu me bois... pendant que mes amis s'ouvrent sur tes seins, tes épaules... Nous jouissons tous ensemble... C'est un bonheur... Nos spermes s'écoulent sur toi, en toi... Tu les masturbent encore, plus doucement... pour qu'ils terminent leur plaisir... Ma queue a perdu de sa superbe... Elle ne tient dans ta bouche que par mon gland que tu suces doucement, à petits coups de langues...

Ma queue sort de ta bouche et retombe doucement... Tu lèves la tête au ciel, fermes les yeux, mords tes lèvres... Le temps s'arrête... Tu es suspendue, ainsi, le regard perdu, inondée de plaisir... Tu viens de faire jouir trois hommes en même temps... Tu te sens femme, heureuse, épanouie... Tu relaches ces deux queues qui viennent de te donner du plaisir, à qui tu viens de donner du plaisir... Tu courbes le dos, baisses la tête, poses les mains au sol... Ton corps brille, mélange de sueur, de sperme... Tu es belle, magnifiquement belle...

Tu es mon bonheur, mon amour, mon ange...

Petite salope... Je t'aime !

mardi 2 décembre 2008

Je me trouve...

...trop propre sur moi.

J'ai envie de jouer les bandits, les mecs sauvages... Rester sage en apparence mais avoir un intérieur en ébullition.

J'aime les contrastes. Costume Cravate de rigueur tous les jours pour mon travail car je suis amené à négocier du gros business France entière... Tatouage et Piercing pour le benoit que peu de gens connaissent...

Cela me fait sourire. Il faut savoir se prendre au sérieux comme être totalement décalé. Je ne peux vivre sans cela.

Je veux être un chat sauvage, le bandit de vos nuits, l'amant en puissance, celui qui vous fait vibrer, qui vous transporte, qui vous fait jouir de plaisir...

J'aime ce que je dégage. J'aime que les gens cherchent à me connaitre, à me comprendre, à savoir. Je laisse rarement la porte ouverte, pour ne pas dire jamais.

Je me sens bien, heureux et épanouis... tout cela grâce à la femme que j'aime, Séverine mon bel amour.

Avec elle, je suis moi. Elle me rend beau. Elle me respecte, respecte mes choix, ma vie, mes envies, mon corps et mon esprit. Je le lui rends bien. Elle est véritablement épanouie, tout comme je le suis, depuis qu'elle m'a rencontré, depuis que je l'ai rencontré.

Tu es mon bonheur. Je ne cesse de te le dire, de te l'écrire. Sans toi, je serais "simple" Benoit. Avec toi, je suis "merveilleux" Benoit.

Tous les jours, je pense à toi, tous les jours, je t'envoie un petit sms d'amour, je m'inquiète de toi, de ta santé, de ton coeur, de ton bien être.
Notre vie est incroyable. Je ne pensais jamais rencontrer quelqu'un comme toi. Nous allons, dans quelques temps fêter notre rencontre, deux ans. Cela peut paraître peu pour certains, beaucoup pour d'autres. L'essentiel n'est pas le temps passé mais le présent, comme on peut le vivre, comme au premier jour...

Nous ne cessons de nous embrasser, chez nous, dans les lieux publics, dans les bars, en famille... Nous pouvons nous regarder durant de longues minutes, nous sourire sans rien dire, sans comprendre que tout le monde nous regarde... Peu importe...
Notre amour, notre joie est communicative. Les gens nous trouvent attachant, nous voient heureux et amoureux. J'aime ce que l'on dégage.

La vie n'a pas été facile pour nous mais à force de choix, de décisions douloureuses, nous avons réussi à nous trouver. J'ai réussi à te trouver.

Je t'aime Séverine. Je t'aime comme un fou. Tu es mon bonheur, ma paix intérieur.

Merci d'être entrée dans ma vie, merci de ne pas en être sortie...

J'ai besoin de toi.

Ton Homme à Toi !

lundi 1 décembre 2008

Nadège, sensible, est agréablement touchée...

1ère Partie : Nadège / Oh Roi Candaule, Oh Maitre Blogman
2ème Partie : Alexandra / Nadège Versus Alexandra
3ème Partie : Nadège, sensible, est agréablement touchée...

Bonsoir Benoit,

Je suis assez surprise et flattée de ce dialogue indirecte avec Alexandra que j'ai relu plusieurs fois d'ailleurs.

Je ne pensais pas qu'un sentiment, écrit comme ça, juste par "réaction" au titre d'un de tes billets puisse interpeller une personne. C'est très intéressant. Par contre son analyse sur l'état d'esprit de Gyrès est loin d'être faux, quel imbécile de ne pas avoir proposé l'alternative du triolisme!!!!

Finalement Maître Blogman : par ton existence, ton partage et tes convictions, et même s'il y 0 devant "commentaires", tu as permis à deux personnes d'échanger leur sentiment. La voici enfin la reconnaissance que tu mérites !!!!

Nyssia était très belle, Candaule a bien mal fini.... Alors, je me dis qu'il est bien vrai que la laideur a un avantage sur la beauté : c'est qu'elle dure!!!!

Autre leçon que je reçois : les libertins sont peut-être catalogués comme des personnes superficielles, mais ceux qui les jugent peuvent-ils avoir ce type d'échange épistolaire alors qu'ils ne se sont jamais vus !!!!!! A méditer.....

Bonne soirée, et à très bientôt.

Embrasse pour moi toutes ces belles jeunes femmes (Séverine, et Alexandra)

Nadège


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Miss Nadège,

Je suis ravi que cet échange te plaise car il me plait beaucoup aussi.

Je ne vais pas embrasser toutes ces jolies femmes pour toi, je te laisse le soin de le faire lorsque tu les verras... Je sens comme un appel dans ta dernière phrase ;-)

J'aime à penser que nous puissions organiser une rencontre, en tout bien tout honneur ou plus si affinité... entre nos jolies Séverine, Alexandra et toi... sans oublier, bien évidemment les hommes de l'aventure... les veinards.

Pour une première rencontre, cela donnerait un aspect fort sympathique à la soirée.

Quel joli tableau que deux femmes ensembles... mais alors 4, je n'ose à peine imaginer !

Je t'embrasse.

Bises sur le front à Fred.

Benoit

Nadège versus Alexandra

Mes chères lectrices, Nadège et Alexandra, vous jouez avec légèreté sur les mots et vos textes m'enivrent.

Seriez-vous aussi attirantes avec vos corps qu'avec vos esprits... Je me laisse transporter et j'ai envie de croire que oui...
(Je ne m'avance pas beaucoup car vos photos me le confirment ;-))

Je ne vous connais qu'à travers nos échanges et pourtant j'ai l'impression de vous connaître depuis bien longtemps.

Je vous embrasse tendrement toutes les deux...

A vous de jouer...

1ère Partie : Nadège / Oh Roi Candaule, Oh Maitre Blogman
2ème Partie : Nadège versus Alexandra

Candaule (personnage récupéré par la mythologie grecque), roi de Lydie. On raconte que ce prince était si vain de la beauté de sa femme, qu'il voulut la faire voir à son favori Gygès pendant qu'elle était dans le bain : celle-ci l'ayant su s'indigna d'un tel affront; força Gygès à tuer Candaule, puis l'épousa et le fit asseoir sur le
trône. Avec Candaule finit la dynastie des Héraclides

Je comprend le sentiment de cette femme jolie Nadège... Ses mots me parlent.

Elle dit : "Je lève le voile de tous les phantasmes non réalisés qui sortent peu à peu de mon cerveau... "
Moi : Je dis librement, je découvre avec légèreté le libertinage mes phantasmes, et
je me découvre avec celui que j'aime!! quels doux moments!!

Elle dit aussi : "Vous vous offrez à nous, nous le prenons comme un cadeau. Je n'ai jamais été aussi peu gênée devant un tel égoïste émanant de ma personne, mais il me permet de m'enrichir pour pouvoir enrichir ma vie et celle de Fred(l'impatient!!!)."
Moi : Je dis, que l'égoïsme est plutôt sain, comme elle le décrit! puisqu'elle s'enrichit pour elle et celui qu'elle aime.

Elle écrit : "Alors, pardon Roi Candaule, Pardon Maître Blogman, laissez sortir ce côté obscur que j'ai en moi, laissez mon désir monter, et grâce à vous je pourrai vivre le meilleur de l'Amour. Malgré le 0 en face de commentaires, notre esprit travaille quand même et l'expérience est partagée, mais c'est vrai qu'il y a là une absence de reconnaissance..."

Elle dit : "Une dernière chose, j'arrive à confondre phantasmes et moments vécus dans le blog... est-ce parce que je suis troublée??? En tout cas, j'ai appris beaucoup. Pas forcément sur ce que je veux, mais surtout sur ce que je ne veux pas!!!!"!!
Moi : Je dis: Effectivement, les moments vécus virtuellement troublent l'esprit et réveillent nos sens, nos pensées enfouies... et puis ensuite on a envie de vivre les
phantasmes, de se laisser tenté par le réel!!!!! Nadège, apprend beaucoup; elle en est troublée!!! C'est déjà très bien de savoir ce qu'on ne veux pas!! c'est une de mes phrase fétiche!!!

Je souhaite que tu lui fasses part de ma reconnaissance!! j'aime beaucoup son texte, ses mots, et j'ai envie de l'encourager a laisser monter le désir, l'envie, et le reste... Moi je pardonne le Roi Candaule , par contre Lydie (femme de Candaule)
n'est pas pardonnée !! Et cet idiot de Gygès aurait du proposer une alternative : Le triolisme!!! LOL!!!

Bises a vous et a eux!!!

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Voila jolie Alexandra, tu as souhaité que j'informe Nadège de tes pensées, de ta reconnaissance... C'est chose faite.

Portez vous bien mesdemoiselles, j'adore vos mails, vos commentaires, vos envies les plus obscures et vos jolies trombines.

Messieurs, amis de ces charmantes personnes, prenez soin d'elles, aimez-les, vivez-les, portez-les... Elles sont magiques !

A toutes et à tous, vos textes, vos mails, vos encouragements me font beaucoup de bien.

Benoit