mercredi 9 novembre 2011

Pas simple... Pas simple...

...de vivre à deux.
Sommes-nous fait pour vivre à deux ? Je ne suis pas le premier à poser cette question mais je n'ai pas, pour autant, la réponse.
Quant à vivre seul... c'est encore moins certain. Quel dilemme...

L'idée d'avoir chacun son appartement, très proche l'un de l'autre, elle est peut être là, la solution.
Nous avons vécu cela au début de notre relation, il y a 5 ans. Nous en gardons des bons moments, de merveilleux souvenirs.

Ma chérie se pose la question aujourd'hui de recommencer. Non pas que notre couple ne va pas bien, mais elle a besoin d'un peu d'indépendance et de se retrouver plus souvent seule. Je la comprends.

Ma vie n'est pas de tout repos. Et elle la subit plus qu'elle ne la vit. Elle ne veut pas me quitter, ho non mais juste un peu s'éloigner pour retrouver un peu de calme dans ces moments de tempête. J'espère que notre couple tiendra. Je le pense mais je ne suis pas à l'abri que, durant ce passage "Bi-appart" elle rencontre quelqu'un qui vienne enlever son cœur... Aujourd'hui il bat pour moi, demain, ce sera peut être différent. Je souffrirais terriblement mais je la laisserai vivre ses choix. Elle ne m'appartient pas. Juste l'amour qu'elle me porte m'appartient, le désir qu'elle a pour moi m'appartient, mais le reste, non. C'est sa vie, c'est son corps et c'est son cœur.

Je t'aime Séverine comme je n'ai jamais aimé. Seul m'importe ton bonheur. J'espère juste une chose, que ce soit moi qui en soit l'acteur et le réalisateur... ❤

mardi 8 novembre 2011

Il n'y a pas d'amour heureux...

Rien n'est jamais acquis à l'homme. Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son cœur. Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce

Il n'y a pas d'amour heureux

Sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de ce lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désarmés incertains
Dites ces mots ma vie et retenez vos larmes

Il n'y a pas d'amour heureux

Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent

Il n'y a pas d'amour heureux

Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare

Il n'y a pas d'amour heureux

Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs

Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous deux

Georges Brassens.


Sans commentaire.
A bientôt chères lectrices, chers lecteurs.
Portez vous bien et prenez soin de vous.
Benoit

mercredi 4 mai 2011

J'aime pas les lapins... surtout quand ils sont crétins...

Je me réveille lentement... pose ma main à coté de moi pour sentir le corps chaud de ma chérie...

Elle est réveillée, m'accueille avec un "Coucou mon chéri..."... Je lui embrasse le dos, l'enveloppe de mes bras... Je m'approche d'elle... pose mon sexe contre ses fesses et actionne, doucement, mes reins... doucement, tout doucement...

Son dos se creuse, ses fesses s'ouvrent, mon sexe glisse dans sa raie...

Petite chienne que j'aime. J'adore te faire l'amour.

Ma main se pose sur son sein, lourd, gros, doux, agréable... Je bande encore plus fort... Mon sexe grossit... J'ai envie d'elle, j'ai envie de la prendre, lui faire l'amour, tout doucement, glissé mon sexe dans son sexe humide, chaud et enveloppant...

Humm, le sexe féminin, il n'y a rien de plus agréable... celui de ma chérie est doux, tendre, légèrement gonflé... Il s'ouvre à chacune de mes caresses... j'adore...

Je me fais plus tendre encore... Elle respire de plus en plus fort... et s'allonge sur le ventre... Son corps m'invite et ma queue accepte... comme par hasard... C'est chouette...

Aïe... ça me reprend !!!

Zut zut zut alors. Comment dire... il fait à nouveau chaud, il fait à nouveau beau... la chaleur monte, les corps se dévoilent... les gens se regardent, se sourient en se croisant dans la rue.

J'aime ces ambiances, c'est bon.

Vous m'avez manqué les amis, c'est bon de revenir ici. Je dépoussière un peu le bazar et je vous écris un peu.

Bises tout le monde. Et vive Glee !!!

Benoit

lundi 13 décembre 2010

Pourquoi...



...pourquoi aucune nouvelle ? Pourquoi une telle absence ?... ne m'en voulez pas mes amies, mes amis, mes lectrices, mes lecteurs...

J'aime mon blog mais je ne veux pas de son coté "trop prenant"... alors je laisse le temps prendre son temps... et puis je reviens le voir, lis quelques passages, le trouve beau, m'émeut de certains passages...

J'aime vos commentaires, j'aime vos rappels, j'aime vos demandes. C'est tout cela qui me pousse à revenir. Mon dernier billet date de quelques mois. Beaucoup de choses se sont passées depuis. Nous sommes en hiver et il fait froid... pas simple...

A coté de cela, j'aime toujours ma chérie adorée, j'aime toujours rencontrer des jolies personnes, discuter, savourer... bref la vie en somme.

Je vous embrasse tendrement.

Portez-vous bien et prenez soin de vous.

Benoit

dimanche 24 octobre 2010

Un grand merci...

...vraiment vos commentaires et vos messages sur notre boite mail m'émerveillent et me font beaucoup de bien.
Je suis souvent surpris du plaisir que vous prenez à me lire, de l'intensité de mes textes, de la façon que j'ai à me découvrir auprès de vous... comme si nous étions là, sur un canapé, au coin du feu, à discuter... Tout ceci me plait beaucoup.

J'ai presque envie de simplement me livrer à vous sans pour autant ne parler "que" de sexe...

Ma chérie et moi sommes heureux ensemble. Je n'ai jamais aimé quelqu'un comme je l'aime, jamais. Je ne me suis jamais senti heureux avec quelqu'un comme je suis heureux avec elle. C'est délicieusement bon, tendre... Nous passons des moments agréables.

Nous sommes allés voir aujourd'hui "les petits mouchoirs" de Guillaume Canet... attention les larmes mais quel film, quel film... j'ai adoré... j'ai aimé ces moments passés avec ces amis. On oublie que l'on est devant un film. On est transporté et on vit avec eux. Et il y a le thème du film, les non dits... pourquoi attendre qu'un ami, qu'un parent disparaisse pour lui dire ce que l'on a sur le coeur... Pourquoi ?

J'ai décidé depuis plusieurs années d'aller à la rencontre des gens que j'aime, de ma famille, de mes amis pour leur dire ce que je pense d'eux, gentiment of course. Si je n'aime pas quelqu'un, je ne lui dit pas, j'évite de le rencontrer, tout simplement. Par contre, si j'apprécie une personne en particulier, je lui dit, homme comme femme...

Bref...

La vie est belle si on veut la voir belle. Elle nous renvoie ce qu'on lui envoie. Pensez-y.

Je vous embrasse et je reviens très vite sur mon blog.

Bises à vous.

Benoit

dimanche 25 juillet 2010

Blog en mode pause...

1 mois que je n'ai pas écris... je vis les instants de la vie avec ma chérie, je travaille beaucoup pour être libéré au moment de mes vacances... C'est pour bientôt.

Merci pour vos messages, vos commentaires, j'adore...

Je prépare le texte "Séverine"... beaucoup demandé (y compris par ma chérie...). Fichtre, je n'ai pas le droit à l'erreur.

Je vous embrasse.

Bises.

Benoit

mardi 29 juin 2010

Mieux vaut des pressions...

qu'une dépression...


Et c'est ce que je fais... Entre subir la pression et la boire... J'ai choisi, je la bois !!!

Je suis en pause célibataire ce soir dans un endroit "branchouille" de Nantes, les hangars à Bananes... Historiquement de vrais hangars à Bananes désormais transformés en bars branchés, en resto et autres divertissements... boites à streaptease... par exemple...

Je fais subir la pression à ma pression... tranquillement. Je me suis installé en terrasse, face au soleil. Je regarde le match de foot... L'ambiance est bonne. Il y a beaucoup de gens en terrasse et à l'intérieur c'est cours de salsa. Nous avons deja failli venir ici avec ma chérie. 



Ma chérie, ma chérie que j'aime est restée à notre appart. Elle est fatiguée et a besoin de repos...

En me regardant partir, elle s'approche de moi et me dit : "je t'épanouis trop... Tu es beau mec, bien habillé... Les filles vont te brancher...". Je souris de tant de compliments. Tout ceci me fait très plaisir... Je la prends dans mes bras, lui dit qu'elle n'a rien à craindre. Je lui souris, l'embrasse et pars... draguer d'autres filles...

Je déconne... pas de panique...

J'aime être seul, regarder les gens, prendre du temps pour moi, vous écrire, être bien. J'aime être seul, c'est vrai. J'ai conscience que cela peut avoir un coté "égoïste" mais j'en ai besoin pour mon équilibre... Alors c'est vrai ma chérie, c'est vrai que tu contribues beaucoup à mon bien être en prenant conscience de qui je suis et en me laissant cette liberté de quelques minutes, quelques heures. Merci, un grand merci car c'est la première fois que je vis cela et j'en suis comblé. Je t'aime, je t'aime très fort.

J'ai commencé à écrire un texte sur toi que j'ai intitulé "Severine"... Pas très recherché comme titre mais j'adore ce prénom... Je ne cesse de lui ajouter des mots. J'ai beaucoup de choses à dire sur toi alors je prends mon temps, je paufine mes phrases, choisi mes mots. Je ne sais si je le publierai, on verra. Mais je reçois beaucoup de mail qui me posent des questions sur toi, sur nous. Je vais leur répondre avec ce texte. Tu pourras lire à quel point je t'aime, même si tu le sais déjà...

Deuxième bière, mon pêché mignon, une bière blanche avec une rondelle de citron... J'aime bien. Le soleil se couche.'il fait toujours chaud. Il y a toujours autant de monde, beaucoup de mecs, coupe du monde oblige.

Je vais regarder un peu le match.

Je vous embrasse les gens. Je vous adore et j'adore vos commentaires, vos mails, vos envies et vos désirs... Bandes de coquines, bandes de coquins...

Bises.

Et méfiez-vous des contrefaçons !!!

Benoit 

samedi 26 juin 2010

La fidèle...infidèle...

Une jolie brune marchait dans la rue, nonchalamment, un léger sourire aux lèvres... Elle était bien, heureuse, amoureuse de son petit mari et amante aimante de son amant...


Humm son amant... A l'evocation de son nom lui vient des images de leurs derniers moments d'amour, de baisers, de caresses et de sexe... Un frisson parcourt sa nuque, son dos, ses reins et disparaît dans son corps, son ventre, son sexe...

Elle sourit, ferme les yeux, continue de marcher... Elle sent la fraicheur du vent la caresser doucement, soulever ses fins cheveux brins et les faire retomber doucement sur ses épaules...au rythme de ses pas...

Elle s'arrête. Elle a toujours les yeux fermés. Elle ne bouge plus mais continue à sourire... Les gens qui la croisent la regardent, s'interrogent...

Elle s'en moque, ne les voit pas, ne les ressent même pas...
Elle est dans sa bulle, son monde, son univers de plaisir, de bonheur, de bien être et de paix intérieure... Elle est heureuse, délicieusement heureuse...

Elle ne veut plus bouger mais simplement s'imprégner, marquer, tatouer à tout jamais son esprit, sa mémoire de cet instant de vie, de cet instant de bonheur à l'état pur...

Et c'est ce qu'elle fait...

Elle relève la tête, ouvre les yeux, regarde le ciel bleu... sourit toujours... Dans son esprit ne vient qu'un seul mot, un seul et unique mot...

Merci... Merci...

Elle remercie la vie... Elle la remercie de lui avoir fait rencontré son petit mari, qui vit à ses cotés et cet amant aimant qui vit... ses accotés...

Ces deux hommes qui lui font vivre ce bonheur, les acteurs de son bien être...

Elle remercie la vie, toujours les yeux au ciel... de l'avoir autorisé, aidé à faire tomber ses barrières, à surmonter ses doutes, à ôter sa culpabilité... à l'avoir tout simplement aidé à être... elle..

Elle ne bouge toujours pas, prends une grande inspiration, se remplit de ce pur bien être... baisse doucement la tête... regarde devant elle... croise les regards... revient petit à petit, doucement à la vie qui l'entoure...

Elle sourit toujours... et reprends sa marche tranquille, dans cette rue qui a bien voulu l'accueillir, l'espace d'un instant, elle et son bonheur...

Merci la vie, merci mon petit mari, merci mon amant...aimant... mon fou d'amant...

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Je dédie ce texte à toutes les fidèles... infidèles... ;-)

Soyez heureuses mesdemoiselles...

Benoit

Terminus (Melting Pot...)

Lui : Qu'est-ce que je fais ici ?
Pourquoi cette fille me hante à ce point, jour et nuit. Il faut que je sache, que je comprenne... il faut que je m'approche d'elle, il faut que je la touche...
Je monte dans la ram du métro... J'attends quelques minutes et je l'aperçois...

Elle : Il est là! Mon coeur bondit.. Va-t-il me percevoir cette fois ? Depuis le temps qu'il hante mes pensées, je ne cesse de me demander si le feu qui me consume, le brule aussi ou s'il ne se rend même pas compte de ma présence.. Il avance dans ma direction.

Lui : Mon coeur bondit à la vue de sa silhouette... Vais-je avoir le courage de marcher vers elle ? Mes jambes sont lourdes...et pourtant, et pourtant, comme un aimant, amant...je m'approche, attiré...tel un papillon par la lumière...

Elle : Qu'est-ce que je fais? Je suis troublée, j'essaie de regarder ailleurs, faire bonne contenance, mais rien n'y fait. Brouillée par mes états d'âme, trahie par ma maladresse, je finis par croiser son regard qui me transperce... Je recule. Je me heurte à une barre derrière moi. Je suis bloquée. Intimidée, je me tourne en maudissant ma balourdise... Pourvu qu'il s'approche encore plus, qu'il me colle. Je le sens approcher, j'entends le bruit de ses pas, je respire son odeur. Je fais un pas en arrière pour mieux sentir sa présence, comme un papillon de nuit magnétisé par le feu, et je me brule les ailes... Je sens maintenant mes epaules contre sa poitrine, son ventre contre mon dos. Je frissonne . Mon coeur bat à tout rompre, ma poitrine se dresse et pointe insolemment.. Je ne sens plus mes jambes...

Lui : Mon Dieu qu'elle est belle. Elle n'est plus qu'à quelques mètres... Sa réaction est étrange. Elle fuit mon regard mais est aussi comme, attirée... Elle me plait, cette fille me plait...
Elle se recule... Non, je ne te laisserai pas partir ma jolie, pas maintenant que je me suis décidé.
Elle n'a pas fait attention et se heurte à la barre de la rame. Cette dernière vient se coller contre son dos, l'empêche d'aller plus loin, la fixe sur place. C'est ma chance...c'est ta chance Beauté...
Elle me sent m'approcher, regarde au sol, n'ose lever la tête... Elle se retourne et s'accroche à cette barre comme pour ne pas perdre l'équilibre, comme pour ne pas partir, comme pour ne pas s'évanouir... Que ressent-elle à ce moment ?
Je bande. Elle m'excite... Ses cheveux, son dos, ses hanches, ses jambes... son corps m'excite...
Je vais te prendre sale chienne, je vais me coller à toi, toucher ton corps avec mon corps... Je m'approche encore... je ne suis plus qu'à un mètre, je peux voir ses épaules se soulever au rythme, soutenu, de sa respiration...
Au moment où j'allais poser mes mains sur ses hanches, me plaquer contre elle, elle se recule et vient se coller à moi... Ce mouvement m'a surpris, nos corps se sont heurtés. Ceci a eu pour effet de la renvoyer contre la barre. Dans ce mouvement, je me retrouve contre elle et la plaque contre cette barre...

Elle : Il me plaque violemment contre la barre. ça me fait mal et je m'en delecte. Il se plaque contre moi encore plus fort. Je sens son visage dans mes cheveux. Il me hume. Son souffle brule mon cou. Je me cambre. J'attends, languissante, que sa bouche touche ma peau. J'ai envie de crier "dévore moi!!"... Quand ses levres frolent enfin ma nuque, un immense brasier s'enflamme dans mon ventre. Et, alors que j'etouffe un profond gemissement, je sens sa main se glisser sous mon pull. Une main froide qui electrise mon ventre brulant ainsi que mon corps tout entier. Une grande main, la main d'un homme. Il me masse le ventre et j'ai l'impression que mon coeur s'est arrêté de battre.

Lui : Je veux la sentir, la toucher, la respirer, la baiser... Je pose mes lèvres sur son épaules, plonge mon nez dans sa nuque, prends une grande inspiration, respire son odeur... Ma main plonge sous son pull... Toucher sa peau, ce contact me hante, je veux toucher sa peau...

Elle : Je suis trempée de sueur. D'autres secrétions inondent, tel la lave qui coule, le cratère en bas de mon ventre... Inconsiemment j'ecarte les jambes. Il colle sa joue humide à la mienne. Nos odeurs se melent. Sa main monte, ma fébrilité aussi.. Elle se dirige vers ma poitrine. Je voudrais qu'il la presse, qu'il en pince les bouts, qu'il me fasse mal... Mais il ne fait que les effleurer délicatement et ça m'affole encore plus. Je soupire. Je sens son organe majestueusement dur et tendu contre mon dos et j'entends sa respiration haletante..

Lui : J'ai les mains froides... un léger sursaut de ma belle au moment ou ma main se pose sur son ventre... Il est chaud... Elle est en sueur... Elle m'excite... "Tu mouilles beauté ??? Dis-moi que tu mouilles... Excite moi..."... J'ai envie de le lui glisser à l'oreille mais je n'ose pas...
Ma main remonte vers ses seins, les effleure, glisse sur eux... Sa respiration se fait plus importante...plus enlevée...plus soutenue... Je colle mon bassin contre son cul, ma queue contre son sillon... Elle est raide, dure, me fait mal... Je suis comme un animal...
Je veux qu'elle me voit, qu'elle me regarde cette chienne qui m'excite tant... Je la retourne... ces cheveux volent et accompagnent le mouvement de son corps... Je pose mes mains sur ses épaules et plonge mon regard dans son regard... Je veux qu'elle me voit, qu'elle regarde en moi, qu'elle comprenne que je la veux... Je m'approche d'elle, ferme les yeux et dépose un baiser sur son front... Je sens la chaleur de sa peau, de son corps...
Elle profite du baiser sur son front pour poser ses lèvres sur mon cou... cette sensation m'électrise, me fait frissonner, me transporte et me fait bander encore plus fort... ma queue va exploser... J'ai envie qu'elle la prenne, la presse, la serre contre elle et la libère totalement...

Elle : Subitement, il me retourne pour qu'on soit face à face. Je vois son regard affamé qui m'attise encore plus.. Il embrasse mon front humide. Je niche mon visage dans son cou, le renifle, le mordille, l'aspire.. Son organe raide pressé contre mon ventre m'intime de le libérer.. Je lui obéis en totale soumission à ce désir qui a pris les commandes de mon corps et qui inhibe complètement mon cerveau.. Mais, le temps qui nous était imparti est écoulé...

Lui : Mais, le temps qui nous était imparti est écoulé...

Elle : Terminus, Tout le monde descend, nous aussi.. Je pars à gauche, il part à droite. Et comme chaque matin, je m'assois à mon bureau le regard dans le vide et l'esprit à mille lieues ailleurs...

Lui : Terminus, Tout le monde descend, nous aussi.. Je pars à droite, elle part à gauche. Et comme chaque matin, je m'assois à mon bureau le regard dans le vide et l'esprit à mille lieues ailleurs...

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Merci Mayday pour cette ballade...

Je t'embrasse.

Benoit

jeudi 24 juin 2010

Apéro en Terrasse...



...avec la femme que j'aime...

Cela nous fait du bien de nous retrouver. 3 jours de balades professionnelles, sans ma chérie, et de retour à l'appart...

Bien que je sois super fatigué, 1850 km en 3 jours..., j'ai demandé à ma chérie de venir avec moi prendre un verre, profiter du soleil, à la terrasse de l'Ecluse... cela devient mon repaire, cet endroit.

J'adore, nous y sommes bien...

Il est 19h00 et le soleil chauffe encore mon visage. Je regarde la femme que j'aime, je la trouve belle, souriante, marrante... je lui prends la main, je lui souris, je ne dis rien mais lui exprime, en la regardant, tout l'amour que j'ai pour elle...

On discute de tout et de rien, de notre amour, de notre avenir, de ce que nous allons faire plus tard, de baise et de sexe... Elle a envie de moi et j'ai envie d'elle...

Elle s'est fait belle pour mon retour... Nous prenons un verre de vin blanc "sec" et rapidement l'alccol fait son effet... la fatigue, le soleil, le désir... nous partons rapidement et en remontant vers notre appart, elle me glisse "j'ai envie de toi...". Je la regarde et lui réponds "je comprends ce que tu veux me faire comprendre ???"...

Elle me regarde, me sourit, caresse mon sexe dur, dans la rue...

"On se trouve un petit coin ?"...

Putain, la garce, elle m'excite grave... Elle veut que je la prenne dans un petit coin, en pleine rue, à l'abri des regards mais avec cette excitation de se faire prendre... dans tous les sens du terme...

"Tu te souviens, comme dans l'escalier, à notre ancien appart..."... Si je m'en souviens... Je l'ai prise par derrière, accrochée à la rambarde... n'importe qui pouvait, à tout moment, monter ou descendre... grave excitant mais grave flippant aussi... Notre voisine a ouvert la porte... heureusement je l'ai entendu juste avant... je n'ai pas eu le temps de totalement remonter mon pantalon... Ma chérie a juste redescendu sa robe et a pris sa culotte dans les mains... Je suis passé devant ma voisine, la main gauche sur mon sexe et la droite qui tenait mon pantalon sur mes hanches... Elle n'a rien dit, nous n'avons rien dit... même pas "bonjour..." ou "vous terminez avec nous ???"... On a été idiots... elle aurait peut-être dit oui... ou bonjour... qui sait...

Retour dans l'instant... elle veut recommencer... nous entrons dans un endroit reculé... une porte s'ouvre au fond... nous repartons aussitôt en riant... des gosses, nous sommes des gosses qui sont en train de faire une grosse bêtise, voila à quoi nous ressemblons... j'adore...

Je la plaque contre une porte de garage... je l'embrasse violemment, presse mon bassin contre son bassin... "tu rigoles mon amour, pas ici..."... me fait-elle dans un mouvement de tête pour me montrer une fenêtre ouverte...

Bordel, on continue mais on s'approche inexorablement de notre appart... Je suis chaud comme la braise et ma chérie... aussi... pendant que nous marchons, elle me presse la queue entre ses doigts... cette fois-ci, c'est moi qui suis gêné... chacun son tour...

Nous sommes à 50 mètres... elle me prends par la main et m'attire à elle, dans un renfoncement de porte... vu imprenable de la fenêtre des voisins sur l'endroit où nous sommes... Ha non, je ne peux pas imaginer que nos voisins nous voient baiser et qu'ensuite, nous soyons amener à les croiser... chaque jour...

Je l'écarte et lui fais non de la tête...

Je la prends par la main, ouvre la porte de notre entrée, monte l'escalier quatre à quatre, ouvre la porte de notre appart, la plaque contre le mur du salon, l'embrasse avec fougue, lui roule une pelle, pose ma main droite sur son sexe... elle enlève ma ceinture, déboutonne mon pantalon, le fait tomber sur mes genoux... Elle descend et avale mon sexe dur, dans sa bouche... elle me suce avec violence... ses dents me font mal... elle serre de sa main mes couilles... cela m'excite encore plus...

Je passe ma main dans sa culotte, lui met un doigt... puis deux... excerce un va et vient dans son vagin... elle gémit... Je prépare son sexe pour la pénétrer violemment dès qu'elle aura terminé de me sucer...

Elle se relève... je l'embrasse, la retourne, la plaque contre le mur, descend son pantalon, lui enlève totalement, retire sa culotte... elle monte sa jambe gauche et pose son pied sur la table basse... Elle est ouverte, totalement ouverte à moi...

Je pose ma main gauche sur sa hanche et saisi mon sexe...tel un sabre...de plaisir... je pose mon gland, humide de sa salive, contre ses lèvres, humides de désir... je pousse... mon gland la pénètre... je pose ma main droite sur sa hanche... Je la maintiens fermement... je pousse encore plus loin, plus à fond... jusqu'à la pénétrer totalement... je me retire...et rentre de nouveau en elle... rapidement mes mouvements s'accélèrent, au rythme de sa respiration... je vais et je viens en elle à une vitesse de dingue... elle se met à crier presque aussitôt, à jouir comme une chienne, à gueuler son plaisir...
Cette baise, cette pure baise m'excite comme un dingue... je suis un chien qui baise sa chienne...

Je n'en peux plus et tout aussi rapidement, je viens avec elle... je jouis, j'hurle...

Putain les voisins... les fenêtres sont ouvertes... Je réalise cela mais ne peut m'empêcher de crier... J'ai tellement de plaisir...

Je baise la femme que j'aime, cette salope, cette putain que j'aime, qui me plait tant...

Je me retire, hagard, les yeux exorbités... je ne sais plus où je suis...

Elle est là, devant moi, les mains posées contre le mur, les jambes écartées, la tête baissée... elle regarde le sol... elle ne bouge plus... Je regarde ses jambes, fines, belles, magnifiques... du sperme coule à l'intérieur de sa cuisse gauche... elle me donne encore envie d'elle...

Putain, je t'aime, tu entends, je t'aime... les mots explosent dans ma tête...avec une telle intensité que j'en frissonne...

Elle secoue sa tête... la violence de son orgasme lui a fait perdre la notion du temps, de l'espace... Elle rapproche ses jambes, relève sa tête et se retourne doucement... elle ouvre les yeux... ses beaux yeux verts me regardent, me transpercent... Elle est belle, mon dieu comme elle est belle.

Elle me sourit, s'approche de moi doucement... je ferme les yeux...pensant qu'elle allait m'embrasser... elle poursuit son chemin, passe à coté de moi...fait glisser sa main sur ma joue, mon cou, mon torse, ma hanche, mes reins, mes fesses et s'en va, disparaitre... dans la salle de bain...

Je reste comme sonné... cette caresse m'a bouleversé...

J'ai senti tout son amour, sa reconnaissance, son épanouissement, son bien être, son plaisir dans ce geste simple... comme un remerciement...

Merci mon ange de m'aimer ainsi, de me donner tant de bonheur, de plaisir et de vie...

Je t'aime, je t'aime très fort...

Fait bien attention à toi...car j'ai besoin de toi...

Ton homme qui t'aime...

lundi 21 juin 2010

Le marché du Dimanche matin


C'est étrange comme certains instants de vie vous font prendre conscience que vous "viellissez"... que vous vous installez tranquillement dans votre vie, que vous aspirez à une certaine sérénité... une sérénité certaine...

Le marché du Dimanche matin fait parti de ces moments. Nous avons la chance d'avoir fait l'acquisition d'un mignon petit appartement en plein centre ville de Vertou, à côté d'une place, de tous les commerces et de son marché.

Il est 12h06 et je viens de le terminer. Je suis installé à la terrasse du café que j'aime beaucoup. Je suis face au soleil et je vous écris... J'aime bien ces moments où je ne pense à rien, où je laisse aller les mots, les phrases, mes sentiments...

Bref. Le marché de Vertou. J'aime bien.
Ma petite vie, enfin tranquille, j'aime bien
Ma paix intérieure, dans ces moments là, j'aime bien.
Vous écrire, j'aime bien.
Vous imaginez me lire, j'aime bien.
Regarder les gens passer, j'aime bien.
Prendre un café seul, j'aime bien.
Faire l'amour, j'aime bien.
Me faire sucer aussi, j'aime bien.
Charmer les femmes, j'aime bien.
Manger du chocolat, j'aime bien. Mais mes tablettes de chocolats, elles, n'aiment pas...
Fermer les yeux et lever la tête vers le ciel, j'aime bien.
Écrire, j'aime bien.
Me masturber, j'aime bien...parfois trop...
Baiser comme un fou et longtemps, j'aime bien.
Donner envie de moi, j'aime bien.
Manger, j'aime bien... parfois trop...
Écouter de la musique, j'aime bien.
Faire l'amour sur cette même musique, j'aime bien.
Ton cul, j'aime bien...
Te prendre par derrière, j'aime bien.
Glisser ma grosse queue dans ton vagin, j'aime bien.
T'ecouter jouir, j'aime bien.
Te baiser et t'entendre respirer, j'aime bien.
Suer sur ton corps, j'aime bien.
Pleurer aussi, j'aime bien.
Bander dur et fort, j'aime bien.
Faire du sport et l'entretenir physiquement, j'aime bien.
M'allonger et dormir, j'aime bien.
Faire la sieste, au bureau tous les jours, j'adore...
Être gentil, j'aime bien.
Faire plaisir, j'aime bien.
Séduire, discuter, embrasser, baiser... j'aime bien...et dans cet ordre.
Le libertinage, j'aime bien.
L'erotisme, j'aime bien.
L'echangisme, j'aime bien.
Le melangisme, j'aime bien.
Me caresser à coté de ma chérie, j'aime bien.
Ma chérie, j'aime...
(au moment où j'écrivais cela, une fille au loin s'approche...blonde, fine, loockée, classe...mon cœur a bondi dans ma poitrine... J'ai cru que c'était toi, l'amour de ma vie, qui me rendait visite...par surprise... Snif, je me suis trompé... Elle passe devant moi sans même me regarder... Elle est nulle elle... Si elle savait, si elle connaissait l'amant que je suis, la bête de sexe que je suis, le baiseur que je suis...)

Bon Benoit c'est bon, lache l'affaire...et arrête de t'enflammer...
Quoi, je me trompe ?
Non c'est vrai tu as raison mais cela ne sert à rien de te la "pêter"...
Je fais ce que je veux. Il y a tellement de mecs qui baisent mal sur cette planete simplement parce qu'ils ne pensent qu'à leur gueule que j'ai bien le droit de dire que je suis un super coup, non ?
Oui, si tu veux. Après tout, tu ne le dis pas, tu le penses... Donc pourquoi pas...
Tu as raison ma conscience, je ne le dis pas, ce sont les autres qui le disent... ;-m...
C'est ça c'est ça...

Les jolies filles, j'aime bien.
Le soleil, j'aime bien.
La place, j'aime bien
Faire pipi, assis sur les toilettes, j'aime bien.
Réfléchir, j'aime bien.
Ne pas réfléchir aussi, j'aime bien.
Écrire sur mon Iphone, pour mon blog, j'aime bien.
Mon blog, j'adore...
Rencontrer des gens, j'aime bien.
Travailler, j'aime bien.
Fermer les yeux, face au soleil, j'aime bien...

D'ailleurs c'est ce que je vais faire... J'ai envie de me reposer, de penser, de me laisser aller, de baiser aussi... Ça c'est plus difficile maintenant... Chaque chose en son temps... La baise, ce sera pour plus tard... Si tu lis mon blog, ma chérie, tu auras compris...

Portez-vous bien. Prenez-soin de vous.
Ne mourrez jamais...

Benoit

samedi 19 juin 2010

Elle avance doucement...surement...


...à pas feutrés... dans cette relation extra-quotidienne... cet univers qu'elle découvre, qu'elle s'était interdit, qu'elle s'était fermé...et que, maintenant, elle s'autorise...

Maintenant que la porte est ouverte, elle s'y est engouffré et cela lui plait, l'envoute, la transporte... Elle attend avec impatiente la prochaine rencontre, le prochain délire, la prochaine baise... Humm, la prochaine baise...

Le mélange des corps, des sueurs, des râles, des gémissements, des cris, des insultes... Tout est permis, tout est autorisé... Il suffit de demander...

Son amant aimant est comme un aimant, aimant son amante...

Elle est envoutante, extravagante, plaisante, marrante, bandante... elle le sait, en joue... Elle respire le plaisir, l'envie, la vie...


Elle s'approche de la flamme de l'adultère, s'y réchauffe, s'y éclaire... Son amant lui plait, son amant l'excite, son amant la baise...bien, longtemps, violemment, profondément et intensément...

Son amant, cet amant, ce fou qui l'a piqué, l'a drogué, l'a baisé, lui a insufflé ce désir violent qui brule désormais dans son corps...

Elle aime lorsqu'il la retourne, la met à quatre pattes, lorsqu'il pose ses mains sur ses hanches et qu'elle sent le bout de sa queue se poser contrat son sexe, entrouvre ses lèvres, se glisse en elle, envahit son vagin...

Elle aime lorsqu'il l'allonge sur le dos, ouvre ses cuisses, embrasse son sexe, remonte le long de son ventre, parcoure ses seins, pose ses lèvres dans son coup, sens sa queue se poser sur sur son sexe, se frotter contre lui...

Elle prends ce que la vie lui donne, savoure ces moments, les garde au fond d'elle, les inscrit dans ses souvenirs et repars avec le sourire...



Jusqu'à la prochaine rencontre...

Je prends le soleil...



...à la terrasse du café où je prends mes habitudes...l'écluse à Vertou pour celles que cela intéresse... La Sèvre coule à 5 mètres, le soleil me chauffe. Je regarde les gens passer, souris aux femmes qui me regardent, joue mon charmeur... J'intrigue les personnes qui me regardent à écrire en permanence sur mon Iphone.

Je prends mes habitudes dans cet endroit. J'aime vraiment beaucoup. C'est à 5 minutes, à pieds, de l'appartement que nous venons d'acheter. C'est un lieu apaisant, très agréable, calme. Les mamans viennent s'y prommener avec leurs enfants. Où sont leurs hommes ? Je ne sais pas... Pas grave...

Je souris car au moment où j'écrivais cette dernière phrase, je levais les yeux à la vue d'une poussette qui s'approchait...poussée par une mamie ridée qui m'adressa un joli sourire... Tiens, est-ce que les mamies ridées proposeraient-elles de prommener leurs petits enfants pour provoquer, ainsi, des rencontres ??? A développer dans un prochain texte.

Le soleil est là. Il me chauffe la peau, le corps, l'esprit... Je suis calme, reposé, apaisé. Je me suis masturbé avant de venir, j'avais envie de plaisir. J'ai jouit longuement...c'était délicieux...

J'ai ensuite pris mon livre, ma crème solaire, mon téléphone, mon apn, la clé de mon appartement et je me suis rendu tranquillement à pieds, ici, au bord de la Sevre, d'où je vous écris...

Cool... J'attends ma fille qui est partie avec une copine dans le centre ville de Nantes...faire les boutiques. Elle grandit ma petite chérie.

J'ai encore une heure devant moi avant de jouer les papas. Une  jolie jeune femme ne voudrait-elle pas en profiter pour me séduire ??? Allez lancez-vous mesdemoiselles, faites-vous plaisir. Ce n'est pas tous les jours qu'un beau mec est seul, à prendre un café, tranquillement... C'est l'occasion en or...

J'ai pris un livre avec moi "La dame qui aimait les toilettes propres...". Allez hop une photo pour mon blog...










Téléphone. Ma chérie m'appelle...

Elle : Tu es ou ?
Moi : A l'ecluse mon amour, près de la Sevre. Vient me rejoindre.
Elle : Le bar où tu as l'habitude d'aller ?
Moi : Non, l'ecluse près de la Sevre...à côté du restaurant le MC... Là tu devrais savoir où c'est...
...
Elle : Ha ha ha...

(ma chérie a eu des relations sexuelles dans son ancienne vie avec le type qui tenait ce resto... Elle sait donc où je me trouve... Dire que je prends un café à 20 mètres d'un endroit où la femme que j'aime a eu des rapports sexuels avec un autre homme... Space...)

Elle : Ho il faut que je redescende. Je suis monté à l'appart...
Moi : C'est pas grave. Vient me rejoindre, j'ai envie de te voir.
Elle : Bon Ok j'arrive...

Je l'attends...

Allez je publie ce billet et je vous laisse. Ce soir je mettrais les photos. Ma chérie ne devrait pas tarder. Je surveille son arrivée, je ne voudrais pas qu'elle se trompe d'endroit... ;-)

Bises les gens.

Benoit

vendredi 18 juin 2010

Fermer les yeux et ne penser à rien...




Simplement se laisser aller, ne pas réfléchir, laisser vos pensées partir sans les retenir.

Fermer les yeux, écouter les bruits alentours, se laisser porter... 

Nos pensées nous permettent de voyager, de rêver, d'imaginer, de fantasmer... C'est un outil d'evasion sensationnel... 

Souvent, je ferme le yeux et me laisse aller...

Il est 16h47 et je viens de me poser à la terrasse d'un café, au bord de l'eau. C'est beau et très agréable... Il y a une écluse qui laisse s'écouler l'eau... Je peux l'entendre. Les oiseaux chantent. Le soleil perce petit à petit les nuages...

Hummmm... Je suis bien. Je me remplis des petits plaisirs qu'offrent la vie... Cela ne coute rien...enfin presque le prix d'un café en terrasse...1.80€...

J'ai besoin d'être seul en ce moment. J'ai besoin de me poser, de réfléchir à mon avenir... C'est ce que je fais là... Je vous écris pour vous faire partager cela, pour vous demander aussi votre avis pour ceux et celles qui voudront bien m'en faire part par commentaires.

Je souris car mes états d'âmes sont mes états d'âmes...à moi... Difficile de parler de quelqu'un d'autres sans le connaitre... Alors parlez de vous !!!

Peu importe, faite comme bon vous semble... Exprimez-vous ou lisez-moi, tout simplement. Vous allez peut être me trouver ridicule ou peut être pas... Peu importe.

Le soleil chauffe mon visage. C'est bon. Je m'endors sur mon téléphone en vous écrivant... Si je m'allongeais, je dormirais.

D'ailleurs je vais y aller car diner ce soir chez mon futur associé. Le troisième de la bande avec qui je monte une nouvelle SOCIETE. En fait elle est déjà créée. Il ne nous reste plus qu'à nous y associer. Ce sera chose faite le mois prochain...

Bref. Laisse tomber le boulot 2mn Benoit...

Ok...

Je vous embrasse amies lectrices amis lecteurs. J'adore les commentaires que vous me laissez, les mails que vous m'envoyez.

J'aime beaucoup mon blog et il semblerait que vous aussi. Un grand merci... Certains diront que je me cache derrière ce blog car incapable de dire les choses, de les exprimer... Que nini... S'ils me connaissaient vraiment, dans la vie de tous les jours, ils seraient surpris... Un phénomène, un trublion, un électron libre... ;-) voilà comment je pourrais me qualifier.

Je vous laisse. Je reste encore un peu en terrasse et rentre chez moi me reposer. Une petite douche, changement de fringues et je pars diner.

Bye les gens...

Benoit

mercredi 16 juin 2010

Il n'y a pas de sentiments... juste des centimètres !!!

J'ai entendu cette phrase récemment qui m'a bien fait sourire... Dans l'adultère, il n'y pas de sentiments, juste des centimètres...

Parce qu'avoir un plan cul, tromper son homme avec un mec rencontré dans la rue, par exemple ou à une soirée, why not... Mais encore faut-il tomber sur le bon, celui qui vous fera grimper aux rideaux, jouir comme vous n'avez jamais joui, à plusieurs reprises et longtemps... Pas facile à trouver... Pas facile à trouver...

Bonnes recherches les filles...

Benoit

Ce soir, c'est Salsa... avec ma chérie !!!



Ce soir : 19h30... je la prends dans mes bras, je me colle à elle... la main droite sur ses reins, la main gauche enserre sa main droite... je la regarde dans les yeux... j'avance ma jambe droite, elle recule sa jambe gauche... Nos hanches se soudent l'une à l'autre... je peux presque sentir le léger galbe de son sexe contre mon sexe...

Nous nous regardons droit dans les yeux... La musique commence... Je presse ma main contre ses reins, encore un peu plus... Je veux qu'elle sache qu'elle m'appartient...pour cette danse...

Elle me plait, m'excite, m'enivre de son parfum... Son corps fin que je tiens dans mes bras me chavire... Elle est à moi !!!

La musique continue de nous glisser dessus, nous enveloppe, nous réchauffe... Je lui souris et exécute mon premier pas de danse vers elle...

Putain, bordel, je me prend les pieds dans mon lacet, plie le genou et me retrouve vautrer par terre... la tête la première... Ma chérie, surprise de cette chute, tombe à la renverse, les bras en l'air... et se retrouve assise par terre... les jambes écartées...
Je suis allongé sur le coté, la gueule contre le parquet... J'ai mal... Ma chérie me regarde et éclate d'un rire incroyable... Je fais de même, après avoir décollé ma lèvre du parquet... Aïe... Bordel, j'ai mal au bras et au genoux... Elle, me dira plus tard, "Moi c'est au cul"...
"Humm, vient ma chérie, je vais le soigner ton petit cul..."

.....

Non, ce soir, ce sera Salsa mais sans la chute... J'espère...

Je t'aime mon amour et j'ai hâte de te sentir, ce soir, vibrer dans mes bras...

Tu me manques.

Ton homme.

mardi 15 juin 2010

Lettre à la Femme que j'aime...




Mon amour que j'aime,

Je t'ai écouté me parler hier soir et tu m'as impressionné par ton aisance et par ton amour.

Je me suis rendu compte à quel point tu m'aimais.. Même si je le savais, je n'en avais jamais mesuré la profondeur et la sincérité. Je ne te remercierais jamais assez de m'avoir parlé ainsi, avec ton cœur.

Je ne veux pas te dire que tu as tord ou que tu as raison...

Je ne veux pas situer nos échanges aussi bas tellement tu les as placés haut..

Moi aussi je t'aime, je t'aime très fort au point d'avoir aussi accepter tes tares, tes défauts, ta facon d'être lors de tes sorties... même si cela me rongeait de l'intérieur, je me disais que je n'avais pas le droit, que cela t'appartenait, te faisait être toi-même, la femme que j'aime. C'est aussi ce charme et cette séduction qui m'a plut chez toi. Elle fait parti de toi, c'est comme ça. Je l'ai accepté. Séduire d'autres hommes te fait rentrer chez nous avec le sourire...

Hier soir tu m'as parlé comme jamais personne ne m'a parlé. Tes mots, tes phrases étaient teintés de douceur et de beaucoup d'amour. Cela m'a touché en plein cœur.

Je t'aime Severine, je sais au fond de moi que tu es la femme de ma vie. Tu me corresponds et tu corresponds à mon idéal féminin. Ton corps me transporte, ton sourire me chavire, tes yeux illuminent ma vie, tes mains m'aident à avancer, tes pas guident mes pas... Si pour moi, il devait exister, sur cette terre, une femme idéale, ce serait toi, dans son entier !

Malheureusement, un salaud, un enculé, un sale bâtard, un étranger est venu s'imiscer entre nous. Ce n'est pas faute d'en avoir parlé, d'avoir échangé entre nous pour s'en protéger... Mais toi comme moi, nous n'avons pas été assez vigileant et nous l'avons laissé nous approcher, encore et encore, un peu plus chaque jour... Si près qu'il a commencé à souffler sur la flamme de notre désir...au point de la faire vaciller... Il nous a, comme tant d'autres couples, enfermé dans la routine...
Le quotidien nous avait pris par la main...et désormais marche à nos côtés...

Et ceci me perturbe...me trouble, me déstabilise, m'ennuie...

Je ne veux pas te faire souffrir, mais au contraire te guérir. Je ne veux pas te détruire mais au contraire te porter. Je ne veux pas te faire pleurer mais au contraire te faire rire. Je ne veux pas te voir faner mais au contraire éclore... mais ce quotidien me fait peur... Il m'empêche d'être moi-même.

Je sais que vivre avec moi n'est pas facile... Je serais presque l'amant idéal mais loin d'être le mec idéal. L'amour que je te porte est-il assez fort pour te faire rester près de moi, sera-t-il assez fort pour dresser une muraille et nous protéger ?

Je t'aime Severine, je t'aime de tout mon cœur, comme je n'ai jamais aimé. Mes yeux s'embrument à t'ecrire cela.

Je me livre à toi comme je l'ai souvent fait mais, peut être, jamais avec autant d'intensité et de sincérité.

M'écouteras-tu comme je t'ai écouté hier soir.
M'entendras-tu comme je t'ai entendu hier soir.

Même si je ne le souhaite pas car cela serait comme recevoir un coup de poignard en plein coeur, je sais, je sais au fond de moi qu'un jour tu partiras...
Je souhaite que ce jour là soit le plus éloigné d'aujourd'hui... Je ferais tout pour te rendre heureuse, pour t'aimer, pour te chérir jusqu'à ce jour...

Je t'aime mon beau, mon tendre, mon merveilleux amour.

Benoit

lundi 14 juin 2010

Moi dans quelques mois...




















J'y travaille, j'y travaille tous les matins... Pompes, Abdos... etc...

Moi aussi, un jour je saurais faire pousser une rose dans mes mains... pour l'offrir à la femme que j'aime... celle qui me rend heureux, celle qui me rend beau...

A ma chérie adorée.

Je t'aime de tout mon coeur.

Ton homme.

Elle a une folle envie de moi...



Je le sens, elle me veut et j'adore cela...

Laisse toi aller à me prendre, à me lécher, me sucer, me baiser... Abuse de mon corps, de mes reins, de ma queue... Laisse là te pénétrer, te baiser à n'en plus pouvoir... Laisse là entrer en toi, aller et venir, profondément, intensément... à te faire crier...

Laisse moi suer sur ton corps... après y avoir joui...

Laisse moi te baiser comme une chienne...

dimanche 13 juin 2010

Terminus... (Version mâle)













Qu'est-ce que je fais ici ?
Pourquoi cette fille me hante à ce point, jour et nuit. Il faut que je sache, que je comprenne... il faut que je m'approche d'elle, il faut que je la touche...

Je monte dans la ram du métro... J'attends quelques minutes et je l'aperçois...

Mon coeur bondit à la vue de sa silhouette... Vais-je avoir le courage de marcher vers elle ? Mes jambes sont lourdes...et pourtant, et pourtant, comme un aimant, amant...je m'approche, attiré...tel un papillon par la lumière...

Mon Dieu qu'elle est belle. Elle n'est plus qu'à quelques mètres... Sa réaction est étrange. Elle fuit mon regard mais est aussi comme, attirée... Elle me plait, cette fille me plait...

Elle se recule... Non, je ne te laisserai pas partir ma jolie, pas maintenant que je me suis décidé.
Elle n'a pas fait attention et se heurte à la barre de la rame. Cette dernière vient se coller contre son dos, l'empêche d'aller plus loin, la fixe sur place. C'est ma chance...c'est ta chance Beauté...

Elle me sent m'approcher, regarde au sol, n'ose lever la tête... Elle se retourne et s'accroche à cette barre comme pour ne pas perdre l'équilibre, comme pour ne pas partir, comme pour ne pas s'évanouir... Que ressent-elle à ce moment ?

Je bande. Elle m'excite... Ses cheveux, son dos, ses hanches, ses jambes... son corps m'excite...

Je vais te prendre sale chienne, je vais me coller à toi, toucher ton corps avec mon corps... Je m'approche encore... je ne suis plus qu'à un mètre, je peux voir ses épaules se soulever au rythme, soutenu, de sa respiration...

Au moment où j'allais poser mes mains sur ses hanches, me plaquer contre elle, elle se recule et vient se coller à moi... Ce mouvement m'a surpris, nos corps se sont heurtés. Ceci a eu pour effet de la renvoyer contre la barre. Dans ce mouvement, je me retrouve contre elle et la plaque contre cette barre...

Je veux la sentir, la toucher, la respirer, la baiser... Je pose mes lèvres sur son épaules, plonge mon nez dans sa nuque, prends une grande inspiration, respire son odeur... Ma main plonge sous son pull... Toucher sa peau, ce contact me hante, je veux toucher sa peau...

J'ai les mains froides... un léger sursaut de ma belle au moment ou ma main se pose sur son ventre... Il est chaud... Elle est en sueur... Elle m'excite... "Tu mouilles beauté ??? Dis-moi que tu mouilles... Excite moi..."... J'ai envie de le lui glisser à l'oreille mais je n'ose pas...

Ma main remonte vers ses seins, les effleure, glisse sur eux... Sa respiration se fait plus importante...plus enlevée...plus soutenue... Je colle mon bassin contre son cul, ma queue contre son sillon... Elle est raide, dure, me fait mal... Je suis comme un animal...

Je veux qu'elle me voit, qu'elle me regarde cette chienne qui m'excite tant... Je la retourne... ces cheveux volent et accompagnent le mouvement de son corps... Je pose mes mains sur ses épaules et plonge mon regard dans son regard... Je veux qu'elle me voit, qu'elle regarde en moi, qu'elle comprenne que je la veux... Je m'approche d'elle, ferme les yeux et dépose un baiser sur son front... Je sens la chaleur de sa peau, de son corps...

Elle profite du baiser sur son front pour poser ses lèvres sur mon cou... cette sensation m'électrise, me fait frissonner, me transporte et me fait bander encore plus fort... ma queue va exploser... J'ai envie qu'elle la prenne, la presse, la serre contre elle et la libère totalement...

Mais, le temps qui nous était imparti est écoulé...

Terminus, Tout le monde descend, nous aussi.. Je pars à droite, elle part à gauche. Et comme chaque matin, je m'assois à mon bureau le regard dans le vide et l'esprit à mille lieues ailleurs...

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Merci Mayday pour cette invitation...merci pour ce voyage...
Retrouvez la version féminine ICI...
Je t'embrasse.
Benoit

Le Dimanche...

...journée tranquille...

Le bonheur apporterait-il une potion magique avec lui qui vous ferait apprécier les dimanches ??? Je ne sais pas mais ce que je sais c'est que j'aime le Dimanche...

Je me prépare tranquillement et descend de mon appart situé en centre ville d'une ville proche de Nantes. J'y ai pris mes marques. Je descends faire un tour sur le marché, achète deux trois petites choses et remonte sur la place principale située à 50 mètres de mon petit appart tout mignon...

Là, je me pose à la terrasse d'un café, face au soleil et commande un allongé... C'est mon habitude à moi du dimanche matin. Ma chérie que j'aime habituellement m'accompagne mais pas ce matin. Elle a préfèré trainer dans notre appart et se préparer pour rendre visite à sa cops. Quant à ma fille, elle joue à l'ado et reste dans sa chambre en pyjama à lire.

Humm, je suis bien, vraiment bien. J'ai emprunté l'iPod de ma fille, j'écoute sa musique, m'imprègne de son univers. Ça écoute quoi une gamine de 13 ans ? Jason Raz, Nirvana, The Beattles, lilly Allen, Panic at the Disco... Elle est très Rock en Roll ma fille... Je lui ai offert son Ipod l'année dernière pour son anniversaire. Je lui ai fait graver, au dos : "Pour ma Miss Nirvana adorée. Papa"... C'est mignon quand j'y repense...

Ma fille, ma fille, ma fille... Mon sang, ma chair, la prunelle de mes yeux... Il faut avoir un enfant pour comprendre ces mots. Elle remplit ma vie. Je l'aime comme un fou. Elle est de plus en plus heureuse. Je la sens bien dans sa peau même si elle fait preuve d'une timidité importante. Elle se livre de plus en plus à moi. J'essaie de m'organiser de plus en plus en fonction d'elle. Même si ce n'est pas facile.

Nous avons vécu des moments difficiles. Elle a vécu des moments difficiles. Pourquoi est-ce que je repense à tout cela ? Pourquoi est-ce que je vous écris cela ? Je ne sais pas. Je suis à la terrasse de ce café et les larmes me montent aux yeux. Une émotion m'envahit à l'evocation de ces moments...lointains... mais encore tellement présents...

Un jour je suis passé devant l'hôpital pour enfants de Nantes. En moi-même, je me suis dit "Mon Dieu, pourvu que je n'ai jamais à entrer ici..."...
15 jours plus tard, je débarquais en urgence, ma fille dans les bras, elle avait 18 mois... Une maladie dont on ignorait l'existence s'était imiscée dans ce petit corps qui n'avait rien demandé... L'horreur... L'horreur lorsque vous ne savez pas ce qu'à votre fille, lorsque vous la voyez subir une batterie d'examens, lorsque vous la voyez pleurer devant vous avec l'impossibilité de la prendre dans vos bras... Cela a duré plusieurs semaines avec des aller-retour entre chez nous et les urgences...parfois avec des départs au milieu de la nuit...ma fille en pleurs...

Ils ont détecté ce qu'elle avait un mois plus tard, environ.
Ses reins ne fonctionnaient pas bien et provoquaient toute une série de sympthomes... J'ai cru mourir à l'évocation du nom de cette maladie, de ces conséquences et du fait que ma fille allait devoir subir, à l'âge de 18 mois, des traitements lourds qui, comble du comble, pouvaient lui apporter des séquelles physiques lourdes... Le monde s'ecroulaient autour de nous. Je me souviens avoir saisi la main de sa maman et l'avoir serré fort. Nous nous sommes regardés, les yeux embrummés... Sans se parler, nous avions compris que nous allions devoir nous préparer à des moments difficiles mais qu'il nous fallait, pour notre fille, faire face avec force et courage. C'est ce que nous avons fait !!!

Cela a été dur et je vous passe certains détails comme ces prises de médicaments, ces pillules dont je n'oublierais jamais la couleur, qui étaient le seul remède à sa maladie mais qui pouvaient aussi lui causer beaucoup de mal... Ce dilmene, qui n'en était même pas un d'ailleurs car nous n'avions pas le choix, c'était la seule solution pour qu'elle guérisse. Nous nous sommes aussi tournés vers des traitements alternatifs comme l'homéopathie et d'autres. Je me suis même inscrit à des stages pour apprendre à soigner par l'imposition des mains... Cela peut paraitre ridicule mais lorsque vous savez votre fille malade, vous essayez tout ce que vous pouvez. Au pire des cas, je perdais 500€ dans ces différents stages mais poser mes mains sur la tête et les reins de ma fille chérie ne pouvaient pas lui faire de mal. Et c'est ce que j'ai fait.

Je me suis documenté, renseigné et j'ai passé différents stages. Ensuite, deux à trois fois par semaine, je me levais la nuit, entrais dans la chambre de ma fille lorsqu'elle dormait, posais ma main gauche sur sa tête et ma main droite sur ses reins... Je fermais les yeux, les larmes coulaient... Je me concentrais sur sa respiration et j'ecoutais... Cela me calmait et je priais, simplement...les mains posées sur ma fille.

La vie a continué son cours, ma fille a grandit avec cette saleté de maladie, ses médicaments, ses visites mensuelles à l'hôpital...

Cela a duré des mois, des années. Un jour, le médecin nous annonce que son état est stabilisé, un autre jour qu'elle va mieux, un autre jour qu'elle va beaucoup mieux, un autre jour qu'elle est en voie de guérison et un dernier jour... : "votre fille est guérie..."...

Ma fille est guérie... Je l'ai regardé, j'ai pleuré aussitôt... Je lui aurait sauté au cou, je l'aurais embrassé tellement j'étais heureux, soulagé. Ma fille avait 5 ans et elle était guérie, enfin guérie !!! Cela aura duré presque 3 ans, 3 longues années... Mais nous avions réussi. Depuis elle est suivie et nous avons continué son traitement de fond à l'homéopathie. J'ai arrêté de me lever la nuit...sauf de temps en temps, juste pour l'écouter respirer. Je m'étais habitué à l'écouter respirer durant toutes es nuits passées auprès d'elle... J'ai besoin parfois de l'entendre à nouveau, encore aujourd'hui, encore cette nuit où je me suis levé. Cela m'appaise, me rassure.

Je t'aime ma fille. Je t'aime très fort. Tu le sais car je te le dis souvent. Peut-être qu'un jour je te raconterais tout cela. Peut-être...

...

J'ai l'impression de revenir de je ne sais où. Je suis toujours à cette terrasse, il est 13h. Je vais rentrer pour préparer à manger, l'embrasser sur le front. Finalement, je devrais presque intituler ce billet "ma fille..."...

Non, je le laisse ainsi. J'ai écrit comme cela me venait. J'avais besoin de coucher mes émotions sur ce blog.

Je vous embrasse.

Je vous livre un détail de ma vie que très peu de gens connaisse. J'aime mon blog car il me permet de me livrer facilement... Cela me fait du bien. C'est ma thérapie à moi.

Je vous embrasse.

Soyez heureux comme je suis heureux.

Benoit

Luce... Laisse moi danser avec toi...

Luce est une candidate que vous connaissez peut-être dans l'émission "Nouvelle Star" sur M6...
Je l'adore... Elle me plait cette fille.



Je vous fais partager mes moments du matin où, tous les matins, j'écoute cette chanson magnifique chantée par une fille qui l'est tout autant.

Elle me plait cette fille. Je la trouve belle avec ses rondeurs, sensible, espiègle... J'adore.

Cette chanson me transporte, me fait frissonner, me charge en émotion, me fait pleurer... Elle me plait terriblement. J'aimerais faire l'amour sur cette mélodie...

Laissez-vous porter, écoutez, savourez...

samedi 12 juin 2010

Soirée de Fous...

...soirée de folie...

Je vous raconterais l'aventure d'un homme et de son amante comme j'aimerais imaginer qu'elle soit...

Portez-vous bien.

Benoit

L'amitié masculine !!!

Ce soir, barbecue chez mon ami...mon vrai ami !!!

Il me plait ce gars là. Nous nous connaissons depuis 5 ans et nous sommes portés par les mêmes valeurs humaines. : Respect, Galanterie, Travail, Amour des Femmes... en plus on aime les mêmes bières... Truc de Ouf !!! C'est mon confident, je suis son confident. On se raconte tout, nos bonheurs comme nos malheurs. Lui aussi a un côté féminin hyper développé et l'assume complètement !!! (On adore faire le ménage et le repassage...)... (heu, c'est une blague...je précise pour celles qui auraient pris cela au premier degré et éviter qu'elles me traitent de macho sexiste...) 

Il a une belle guelle, grisonnant, les yeux bleus, la peau burinée par le soleil, la mer et la piscine...il est maître nageur... Hyper bien foutu en plus, pourquoi pas.. Bref il a tout ce que je n'ai pas... Je déconne mais il parait que je me la pète trop... ;-)

Je suis content de le voir. On va passer une bonne soirée à refaire le monde. Je vais l'aider à s'installer, à être indépendant... Ha moi et le business... tout une histoire d'amour...

Montage de son site internet, maquette, logo, une peu de com et une campagne emailing plus tard, voici un coach sportif à Domicile...les filles !!! Il va faire un malheur... Tenez vos femmes messieurs... le beau gosse est lâché !!!

Ha sacré toi... Même si tu me dis n'avoir que faire des femmes que tu vas rencontrer, que tout cela ne sera que professionnel... Le sourire puis le rire qui suivent en disent long... Pour couronner le tout, tu as les yeux qui brillent... T'es foutu !!! Je lis en toi comme dans un livre ouvert, je te connais trop bien. 

Allez Man, je t'embrasse. Je t'aime mon pote. Je remercie la vie de nous avoir fait croiser nos chemins.

Je bénis ton projet et compte sur moi pour faire le maximum pour t'aider.

Prend soin de toi et à ce soir...

Benoit

jeudi 10 juin 2010

Spleen...

Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;

Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;

Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,

Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.

- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.

Charles Beaudelaire



Pas drôle tout cela... et pourtant, c'est un peu mon état d'esprit ce soir...
C'est rare, c'est très rare que je sois ainsi mais lorsque j'y suis... je ne me loupe pas et je sombre gravement...

Je n'ai pas le droit de me plaindre de ma vie, je n'ai pas le droit. J'ai tout, absolument tout pour être heureux, good job, belle gueule, beaucoup d'argent..., une femme qui m'aime, des femmes qui m'aiment... mais il existe des moments où tout cela ne change rien, comme ce soir.

Mon boulot me stresse. C'est la contre-partie de l'indépendance, de l'argent que je gagne et que je gagne beaucoup... Je suis fiers car je ne suis parti de rien, d'absolument rien !!! Si, un BTS Force de Vente en poche, obtenu à Poitiers... Cool...

Bref, tout cela ne change rien. J'en ai marre, marre, marre, marre... J'ai envie de paix intérieur, de ne penser à rien, de me laisser aller, de m'oublier, de ne plus rien gérer, de ne prendre aucune décision, de n'employer personne... J'aillais écrire "de ne plus être associé"... non, heureusement qu'ils sont là mes "associés". Ils me connaissent bien et sentent quand cela ne va pas, comme ce soir.

Deux de mes trois associés m'ont vu, un m'a entendu plutôt et l'autre m'a vu. Tous les deux m'ont manifesté leur sympathie, tout simplement. C'est cela aussi, être associé.

Ce soir, je sors dans un bar sympa de Nantes. J'ai envie de bouger, boire, discuter, rencontrer du monde, plaire aux gens, hommes comme femmes... Rendez-vous au Molière, bar centre vile de Nantes... à celles et ceux qui connaissent. Moi, vous me verrez peut-être mais vous ne saurez pas que c'est moi...

Ha, une collaboratrice vient de rentrer dans mon bureau, collaboratrice pas employée. Elle est indépendante et nous la faisons travailler chez nos clients. Elle est très mignonne, souriante, jolie. Elle a tout pour plaire aux hommes. Elle m'a changé les idées quelques minutes... Bref...

Il est 18h33, je pars du bureau vers 18h45. Une petite heure de route plus tard et je serais à prendre un verre tranquillement...

Demain, rendez-vous tôt, 08h00 avec le 4ème associé de la bande pour mettre en place notre nouveau business... On va tout faire exploser...

La terre ne s'arrête pas de tourner à mes états d'âmes... Heureusement d'ailleurs.

J'ai envie d'écrire, d'écrire et d'écrire encore. J'ai envie d'être heureux aussi. Je le suis, mais ce soir...bof... Je suis fatigué. Je me lève à des heures pas possible, 05h00 du mat en général et ne rentre chez moi jamais avant 20h00... Tout cela me fatigue...

Je souris à écrire cela. Je n'ai pas l'habitude de me plaindre. Cela me fait bizarre mais me fait du bien aussi. Personne ne me lira peut être, peu importe... Je m'en moque. J'ai juste envie de me vider la tête, envie de boire, envie de pleurer, envie de baiser... peut être tout en même temps... Boire Pleurer Baiser... BPB...

Pas mal comme programme... Putain, oui, ça me plait...

Je vous laisse, je vous embrasse, je termine deux trois dossiers et je me tire de mon agence... Encore que, depuis que nous avons refait les travaux et donner un style déco, j'adore mon bureau... Je ne vais pas pour autant y passer plus de temps que maintenant... J'en connais une, ma chérie, qui va devenir folle sinon... Ha mon avis, elle me quittera avant...

Je t'aime mon amour, je t'aime très fort. Ne me quitte pas avant de me le dire...histoire que je pleure devant toi...pour ne plus avoir le courage, ensuite, de pleurer tout seul...

Je t'embrasse. Tu illumines ma vie... J'ai besoin de toi. Je t'aime.

Ton Homme.


18h45, finalement je me tire et je terminerai demain. Bye... Dans un heure, j'ai un verre à la main...

mercredi 9 juin 2010

Stef de S&S...

Laissez-moi vous présenter le joli texte que j'ai reçu par mail par un couple ou plutôt l'homme du couple... Ha un autre poète... Elle en a de la chance sa chérie !!!

Je vous laisse à votre lecture.

J'adore... Il est malin le steph... il vient sur mon terrain, il me montre ce dont il est capable... il essaye de me séduire pour mieux arriver à ses fins... une rencontre à 4... ha ce coquin...

A bientôt

Benoit

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Salut Ben,
Coucou Sév (enchanté),
Après une interruption involontaire de connexion internet, sur un certain site coquin, un certain Jeudi 3 Juin (Merci Alice …et son pays soit disant plein de « merveilles »)…je reviens vers vous 2… même si je (c’est Stef qui tient la plume) m’adresse plus particulièrement à Ben’
Primo :
Toutes mes excuses pour cette coupure impromptue…méaculpa Sénior
Secondo :
Je viens de jeter sur le papier quelques lignes au sujet de votre sympathique blog…les voici…

Ce blog serait il est en vogue ?…deviendrait il une « drogue » ?
C’est une alchimie captivante et exaltée, entre une douce moitié (Sèv’) et un fervent passionné (Ben’),
C’est une prodigieuse conjugaison du verbe « adorer » à tous les temps et à chaque instant,
C’est un parfum érotique aux consonances féminines, sensuelles et attractives,
Ce blog serait il est en vogue ?…deviendrait il une « drogue » ?
C’est une authentique et spontanée carte gastronomique aux menus très appétissants,
C’est un morceau de jazz où cuivres et percussions fusionnent tel un chef d’oeuvre,
C’est un petit grain de folie ludique en élégante harmonie avec « professionnalisme »,
Ce blog serait il est en vogue ?…deviendrait il une « drogue » ?
C’est une fenêtre ouverte et plongeante sur le vide de l’océan atlantique (normal, pour des Nantais !),
C’est une bouffée d’oxygène que l’on respire secrètement en haute altitude,
C’est une leçon d’équilibre entre ciel et terre, une union édulcorée entre l’eau et la lave,
Ce blog serait il est en vogue ?…deviendrait il une « drogue » ?
C’est une sorte d’exutoire publique qui invite généreusement à une introspection intime,
C’est comme un tsunami de vagues à l’âme où chacun surfe et kiffe au grès de ses envies,
C’est une séance de thérapie en groupe où Ben’ livre et dévoile ses émotions personnelles,
Ce blog serait il est en vogue ?…deviendrait il une « drogue » ?
C’est un sourire éloquent qui s’accroche aux lèvres de vos lectrices et lecteurs,
C’est un antidote contre la gueule des mauvais jours et les matins « sans »,
C’est un brasier de pulsions et de désirs mis à nu, sur fond de fraîcheur pétillante…
Alors OUI…ce blog est bel et bien en vogue…
Le découvrir puis l’adopter deviennent vite une « drogue »…

Stef de S&S

La déchirure ou... réponse à une anonyme...



J'ai écris, à la terrasse d'un café, avant un rendez-vous professionnel, un très joli texte sur une fille que j'ai croisé dans le métro, qui m'a plu et m'a inspiré. Nos regards se sont rencontrés, nous nous sommes souris... et c'est tout.

Elle m'a inspiré et j'ai eu envie d'écrire sur elle. Je l'ai appelé "La jolie inconnue du métro parisien...".

Jusque là, tout va bien. Oui mais voila... Voila qu'une anonyme me laisse un commentaire sur mon texte, sur mon blog qui ne me plait pas du tout. Je l'ai tout de même laissé car je considère qu'il est important de laisser s'exprimer les gens dès lors qu'on n'insulte personne, qu'on ne parle pas de pédophilie, de racisme et autres...

Voici son commentaire :
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Sexe, sexe, sexe..
L'homme et son vice interminable.
Quand va-t-il arrêter ses pulsions animal ?
Jamais. Dévorer une âme du coin de l'œil juste pour rentrer en elle..
Horreur !
Tu me fais peur...
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Aïe... Elle n'a pas tout compris la dame... et ce commentaire est le reflet d'un mal être ou d'épreuves qu'elles a sans doute avec certains hommes...pas très intéressants.

Oui mais voila, tous les hommes ne sont pas comme vous les décrivez très chère.

En effet, certains, dont je fais parti, sont respectueux des femmes, galants, sincères, amoureux... La femme, n'est-elle pas l'avenir de l'homme ?

Je vous invite à me répondre, à en discuter et à échanger ensemble là-dessus.

Je vous répondrais avec plaisir.

Je vous embrasse.

Benoit

mardi 8 juin 2010

La jolie inconnue du métro parisien...

Elle file, fuit son quotidien, ne se retourne pas
Elle avance dans les couloirs sombres du métro
Elle est habillée legerement
Elle est belle et elle le sait
Elle regarde du coin de L'oeil les gens qu'elle croise
Elle affiche un sourire coquin, aux coins de ses lèvres...
Elle avance, marche d'un pas léger retrouver son amant...
Hummm son amant... Si son petit mari savait...

Son amant qu'elle connait depuis peu mais qui semble, lui, la connaitre parfaitement... jusqu'au bout des doigts...

Celui qui la prend si bien et si longtemps...
Celui qui prend son temps quand il la prend... ou la baise en un instant...
Celui qui lui ennivre le corps d'un désir de feu
Celui qu'elle aime sentir entrer en elle
Celui dont elle aime les assaults
Celui qui lui fait faire n'importe quoi
Celui dont elle aime les insultes lorsqu'il la baise
Celui qui lui donne des coups de rein de folie
Celui dont elle pourrait tout accepter... (il ne doit pas le savoir... il ne doit jamais le savoir...)
Celui qui lui donne la fièvre
Celui qui la baise comme une chienne
Celui dont elle aime bouffer la queue
Celui qui est superbement bien monté
Celui dont le corps l'inspire...

Elle se laisse porter, elle n'est déjà plus dans le métro mais se rêve à être déjà dans ses bras... montée sur sa queue... Enfilée doucement, profondemment, intensément...

Elle en frissonne à l'idée de la caresser, de la prendre entre ses mains, de la faire monter... de la glisser dans sa bouche, de la sucer, de la lécher...

Elle serre les jambes tout en marchant... Le feu de son ventre la brule, le désir monte en elle... Elle se prépare intérieurement...à le recevoir, à se faire prendre comme il le voudra... Elle s'en moque.

Elle veut juste se faire sauter, se faire monter, se fairebaiser...
Totalement libérée, envoutée, par son amant magnifié...

lundi 7 juin 2010

MIss... J'ai envie de toi... (Partie 2)

Miss... J'ai envie de toi (Partie 1)

Mes mouvements ont repris... Ma queue monte et descend... Elle se mouille de ma salive et de ta sueur... Mon gland vient parfois buter contre ta rose, premier signe d'une pénétration proche...

J'ai envie de toi, j'ai terriblement envie de toi...

A croire que tu lis dans mes pensées... Je ne l'ai pas vu arriver... Ta main droite est venue, au moment ou je posais mon gland, saisir mes couilles par dessous... Tu les a bien en main et tu me le fais comprendre...
Finit de jouer mon amant, maintenant met-la moi...

En tirant légèrement vers toi, tu m'obliges à venir encore un peu plus contre toi... Le bout de mon gland force alors doucement ta rose à s'ouvrir délicatement... Tu malaxes mes couilles dures et gonflées... Tu m'excites comme un fou... Je balance entre douleur et plaisir... Tu es en train de me rendre fou...

"tu la veux ma queue, hein tu la veux sale chienne..." les mots sont sorties de ma bouche sans que j'ai eu à les penser..

Elle sourit, je l'entends sourire tant mes mots sont crus et dits avec une telle spontanéité...

"Oui c'est ça, je veux ta queue... Mais applique toi pour me la mettre bien comme il faut, bien profonde et bien longue... sale chien !!!"...

Je suis suspendu à ces mots qui explosent dans ma tête...

Je profite d'un instant ou ces mains se relâchent pour me libérer totalement et me reculer... Je regarde la rose de son cul, légèrement ouverte...pas assez à mon gout...pas assez humide non plus... Je réunis ma salive et lui crache dessus... Dans la seconde qui suit le pouce de ma main droite vient se coler et s'enfonce dans ce conduit étroit... Les feuilles de sa rose s'ecartent et me laissent l'introduire... Elle pousse un petit cri de surprise rapidement suivi d'un long gemissement...

Je me penche sur elle, m'approche et lui murmure à l'oreille... "petite salope, c'est moi qui te tient maintenant... Compte sur moi pour ne pas te laisser partir...sans partir..." En même temps que je lui balance ces mots, j'enfonce encore un peu plus mon pouce et commence un va et vient... Mon pouce est rapidement suivi de mon index...et tous les deux, ensemble, entreprennent d'elargir la tige de la rose...

Je bande fort et ma queue, grosse, dure et longue ne veut qu'une seule chose, s'installer en elle...

Je le relève et tout en conservant mes doigts dans son cul, j'approche ma bite... Elle est tellement droite, gonflée par toute cette excitation, que je suis obligé d'appuyer dessus avec ma main gauche pour que mon gland vienne se positionner entre mes deux doigts...

Son cul est légèrement ouvert mais pas assez que ma jolie queue la pénètre totalement... C'est la partie délicate... Je veux la sodomiser mais pas la blesser... Je retire doucement mes doigts et en même temps glisse ma queue... Mon gland vient naturellement les remplacer avant que sa rose ne se referme sur elle même... Magique...

Je pose mes mains sur ses hanches et j'appuie doucement... Millimètre par millimètre ma queue la pénètre...

Je l'écoute et j'écoute son corps... Au moindre mouvement anormal, je me retirerais pour ne pas lui faire mal... J'avance encore un peu plus et j'écoute... Encore un peu plus...toujours un peu plus... Putain comme c'est bon !!!

Je me retire doucement et reviens, tout aussi doucement... J'adore ton cul, miss, j'adore, j'adore...
Je me sens bien dans ce couloir étroit... Je vais et je viens... Mon plaisir monte...

Tu le sens, ma queue gonfle, devient encore plus dure...

...Live...Live...Live... (A suivre)...

dimanche 6 juin 2010

Miss... J'ai envie de toi...

...derrière toi...


Tu es là, sur le lit... Tu m'attends, à quattre pattes...tranquillement...

Tu sais que j'aime cela... Tu me traites de chien car comme une chienne, j'aime te prendre...

Je m'approche de toi, doucement... Tu m'entends, tu ne me vois pas mais tu m'entends. Le lit bouge lorsque je monte dessus... Tu plies tes coudes, poses tes mains à plat et viens reposer ta tête de côté... Tu fermes les yeux... Voilà que ton cul, dans cette nouvelle position, s'en trouve relevé. Je le comtemple, il s'ouvre à moi... Tu respires doucement... Je t'écoute...

Je suis juste derrière toi...nu, la queue droite... Je pose mes mains sur tes fesses, tes jolies fesses... Le contact de ta peau me fait frissonner... J'adore ton cul... Je l'écarte doucement pour voir s'épanouir, devant moi, la rose de ton cul... Je viens y déposer un baiser, la lécher doucement, l'humidifier, la préparer... Je t'entends gémir... Tu me fais bander comme un âne... Je saisis mon sexe de ma main droite et me masturbe doucement... C'est bon... Je lèche ton cul et glisse, en même temps, ma main sur ma queue... Merveilleux...

Je prends mon temps... Nous avons tout le temps... La nuit est à nous...

Je me relève et m'approche de toi. Je dépose ma queue sur ton cul, non pas pour te pénétrer mais simplement la faire glisser sur ta rose humide... Je l'ai tellement léchée que mon sexe glisse tout seul... Je pose mes mains sur tes hanches et fait aller et venir mon sexe dur... Je vois mon gland disparaitre dans ton sillon et ré-apparaitre... Mes couilles viennet frapper les lèvres de ton sexe... Mes mouvements sont lents... Tu n'as pas bougé. Ta tête est toujours posée sur tes mains... Tes yeux sont toujours fermés... Tu es là, impassible...ou presque... S'il n'y avait pas le son de ta respiration et la moiteur de ta peau, qui trahissent ton excitation, on pourrait presque croire que tu dors paisiblement...

Mais il n'en est rien... Tu ne dors pas...

Je sens un mouvement léger de ton bassin, de bas en haut, au même rythme que mes reins... Putain, cette sensation me procure un bien être indescriptible... Je ferme les yeux, relève la tête, inspire doucement et profondemment... Je reste ainsi, à retenir ma respiration, comme suspendu...

Je ne bouge plus. J'écoute mon cœur, le sang parcourir mes veines, battre à mes tempes... J'écoute, j'écoute ce silence... Tu ne bouges plus non plus... Inutile de se parler... Nous nous comprenons. Ensemble, nous nous délectons de cet instant, de cette pose érotique, sexuelle de nos deux corps si proches... Le temps s'est arrêté en même temps que nos mouvements... Tout, dans cette pièce, fonctionne avc nous. L'air ne bouge pas, les rayons de soleil du soleil sont venus se poser sur ton corps, la chaleur est, elle-aussi, suspendue... Nos esprits voyagent... Nous sommes là sans être vraiment là...

Je rouvre les yeux... La Lumière du soleil m'agresse... Je plisse mes paupières comme pour me protéger... J'ai la tête qui tourne... Ma respiration bloquée, mon excitation, le rythme de mon cœur, l'afflu d'oxygène dans mon cerveau... tout cela me fait tourner la tête... J'ai du mal à reprendre mes esprit...

Je te regarde Miss... Tu n'as pas bougé, toujours dans la même position... Putain, comme tu es belle... Je regarde ton tatouage, posé là, au creux de tes reins... Je le caresse du bout des doigts comme pour...l'apprivoiser... ;-)

Tu rouvres les yeux... Toi aussi la lumière te fait mal aux yeux... Je les recouvre de ma main gauche pour les protéger... Tu souris de cette attention... J'attends quelques secondes et la retire doucement...

Cette pause dans notre jeux sexuel a eu pour effet...d'assecher ton cul... Aie, au premier mouvement, ma queue me brule... Putain, pas cool... Je me penche sur ton cul et y dépose une larme de salive... Elle tombe doucement de ma bouche sur le haut de ton sillon... glisse le long, passe au dessus de ta rose et disparaît dans ta fente... Je pose ma queue... Te voila prête de nouveau...

Mes mouvements ont repris... Ma queue monte et descend... Elle se mouille de ma salive et de ta sueur... Mon gland vient parfois buter contre ta rose, premier signe d'une pénétration proche...

vendredi 4 juin 2010

Soirée tranquille...

...à la terrasse d'un café, au soleil, face à la Loire... Une bière blanche sur la table et une musique tranquille dans les oreilles...je suis bien... Je ferme les yeux et laisse le soleil chauffer mon visage. Il 20h13 et je viens tout juste de terminer ma journée de boulot. Dernières discussions avec mon associé sur nos stratégies futures... On refait le monde de la planète business, j'adore... Bref. Ce soir, je sors. J'attends ma chérie qui se fait belle et on se retrouve ici, vers 21h30.

J'aime bien lorsque l'on se donne rendez-vous ailleurs qu'à l'appartement, comme un petit couple d'amoureux. Elle se fait belle, elle m'a glissé à l'oreille, ce matin, juste après lui avoir fait l'amour : "ce soir, je me fais belle et sexy pour toi...". Cool...

Je reprends une gorgée de ma bière blanche... Je souris à l'idée qu'elle se prépare, qu'elle se maquille, qu'elle se fasse belle... Je lui ai demandé de s'habiller classe !!! Robe noire près du corps qui marque ses hanches, la courbe de ses reins et le galbe de ses seins... Elle a prévu des chaussures fines, ouvertes à talons... Un petit sac léger, noir brillant pour terminer la tenue... Top !!!

Viendra-t-elle ainsi ou me fera-t-elle une autre surprise... Je ne sais pas. Je verrais bien. Le fait de l'attendre, légèrement grisé, alcoolisé par cette biére, au soleil, m'excite... J'ai envie d'elle... Comme ce matin où lorsqu'elle m'a réveillé doucement, elle est venu se coller à moi et est venu me glisser à l'oreille : "Fait moi l'amour..."... Je n'ai pas résisté et je l'ai prise doucement, tranquillement... Elle était allongée sur son côté gauche et moi, derrière elle... Nous n'avons pas changé de position... Elle a juste pris quelques jouets coquins qu'elle affectionne particulièrement, un petit vibreur pour son clito et un god fin pour son cul... Putain je bande à l'evocation de ces souvenirs... J'ai léché le god et je l'ai glissé doucement, à la moitié dans son cul... Elle s'est chargée de son vibreur... J'ai approché ma queue de son vagin et j'ai appuyé doucement... J'ai calé la base du god, toujours sans son cul, contre mon bas ventre... Ceci a pour effet Mesdames et Messieurs de provoquer une double pénétration toute douce que ces dames aiment particulièrement... A chaque mouvement de va et vient de votre queue, votre bas ventre vient appuyer sur la base du god qui pénètre encore un peu plus le cul de Madame... Pour peu que Madame joue avec le mouvement, au moment où vous vous reculez pour mieux avancer, elle contracte son anus...ce qui a pour effet de faire ressortir, légèrement le god de son cul... Et bien évidemment lorsque vous vous rapprochez de nouveau, votre queue la pénètre et le god en même temps rentre, à nouveau, dans son cul... Effet garanti !!! J'adore...et elle aussi...

Allez hop, une gorgée de bière...

Ce mouvement se répète et, en quelques minutes, à la fois stimulé par son rectum, son vagin e son clito... C'est l'explosion rapide, soudaine, violente...orgasmique !!!

C'est trop bon et cela m'a aussitôt fait jouir... Putain, c'était trop trop trop bon...

J'adore cette nana, je l'adore, je l'adore... Nous sommes libérés, totalement libérés sexuellement... On s'autorise tout ce dont on a envie...Toujours dans le respect de l'autre, bien sur.

Cela fait 3 ans que nous sommes ensemble, 3 ans de pure bonheur et je pèse mes mots "de pur bonheur". Elle est sensationnelle, très très belle, hyper bien foutue... (cela n'enlève rien...), marrante, rigolote...absolument pas jalouse ni possessive... Elle aime que je plaise aux femmes car elle en est fière... C'est absolument incroyable. Ce qui m'arrive avec cette fille est tout simplement incroyable. Elle me correspond, me comprends, me laisse vivre, m'epanoui et me rend heureux, tout simplement heureux. Merci ma chérie, mon amour d'avoir croisé ma route... Je t'aime, je t'aime de tout mon cœur...

Putain, Manu Tchao chante pour moi... C'est ma deuxième bière... Ma chérie que j'aime ne va pas arriver avant une petite heure... Je vais être défait... Pas grave... Ce soir, elle se fait belle, on sort faire la fête... Demain je bosse mais j'ai déjà prévenu mon assistante que je ne prendrais aucun rendez-vous... La joie de l'independance professionnelle...

Humm ça me chauffe le visage et les neuronnes... Il est 20h45, le soleil est toujours mais se couche peu à peu... Quelques jolies filles se sont installées autour de moi... Je les regarde...discrètement... Certaines sont particulièrement belles. Cool...

Holà... Je viens de me faire questionner par... une vieille peau... Pas de chance... Vu le nombre de jolies nana qu'il y a, il faut que ce soit une moche qui me branche : "Vous ecrivez sur votre téléphone ?"... Je me retourne... "Exact...". "C'est bien" me répond-elle... C'est bien parti... Mais je coupe court rapidement... "Excusez moi mais avec tout le respect que je vous dois, j'attends quelqu'un et j'aimerais bien terminé cela avant...". Je lui adresse un beau sourire et me remet dans ma chaise, face au soleil... Pas de réponse... Putain, j'ai oublié de regarder si elle avait un couteau... J'espère qu'elle ne va rien me planter entre les deux homoplates en me traitant de Goujat... J'attends quelques secondes rien ne se passe... Je suis toujours vivant...

Allez hop une gorgée de bière... J'ai échappé de peu à la mort, cela vaut bien une bonne gorgée... Allez encore une...

Hop la, ma chérie arrive... Je vous laisse... La soirée commence... Je vous raconterais...notre soirée à "Suite 21", boite de striptease à la mode sur Nantes...

"Qu'est-ce que tu écris sur ton blog ???"
"Rien ma chérie, rien de spécial... Tu iras lire... Embrasse moi mon amour, tu es magnifique...dans ta robe noire..." ;-)
.......

jeudi 3 juin 2010

Ma voisine de banc...

Pause au parc Monceau, à Paris, avant mon prochain rendez-vous. Je m'installe tranquillement sur un banc, au soleil... Je mlaisse glisser sur ce banc, ferme les yeux, met ma tête en arrière, respire doucement... La chaleur du soleil vient se poser sur moi et un léger vent me rafraichi... Que la vie offre de délicieux moments...

Quelques minutes après je rouvre les yeux pour voir apparaitre, en face de moi, une magnifque créature du sexe oposé... Elle s'avancer vers moi, me regarde... Je penche la tête légèrement sur le côté, lui sourit, un peu surpris de cette élégance passive et naturelle...

Elle me sourit en retour et vient s'assoier sur le banc à côté du mien... Elle est habillée d'une robe légère qui lui arrive au dessus du genoux, fluide et légèrement décolletée... Elle remonte doucement sa robe en s'asseyant et croise ses jambes fines et magnifiques. Sa peau est légèrement halée... Elle porte de petits escarpins plats... Elle semble venir de nulle part et pourtant, et pourtant elle est bien là à coté de moi...

J'ai pris une photo d'elle, discrètement de mon téléphone. J'ai bien fait attention à ce qu'on ne la reconnaisse pas, par respect pour elle.



Quel moment agréable... Son téléphone a sonné et elle réponds. Elle est juste à côté de moi...j'écoute discrètement... Le fait-elle expres, je ne sais pas mais elle s'oblige, je l'entends dans sa conversation, à donner son numéro de portable à son correspondant... Aucun intérêt puisqu'il vient de l'appeler... Avant cela, elle me jète un coup d'oeil, m'adresse un léger sourire du coin des lèvres et se lance : 06.........

Putain Benoit, enregistre, enregistre... Je reprends mon téléphone et saisi un SMS rapide en notant son numéro... Génial, j'adore. Elle termine sa conversation rapidement avec un rapide "j'arrive, je me dépêche... A plus.".

Elle se lève avec rapidité et élégance... Me regarde, me sourit un peu gènée de cette audace qu'elle s'est permise et passe devant moi, tout près de moi, vraiment tout près... Je la regarde... Le temps s'arrête... Elle passe devant moi au ralenti... Je peux presque sentir sa robe m'éfleurer, les senteurs de sa peau, la chaleur de son corps... Quelle grace, quel aplomb, quelle audace... Bordel, j'adore...

J'aime que les femmes soient ainsi, responsable et qu'elle prenne les choses en main. Elle sait ce qu'elle veut, cela se voit et à cet instant précis...c'est moi qu'elle veut. Tout est propice à cela, le soleil, la chaleur, les corps légèrement dénudés...

Je souris... Je souris de cette audace qu'elle s'est permise... Incroyable, tout simplement incroyable...

Je la regarde partir... Sa robe tombe parfaitement sur ses hanches fines, laisse aparaitre la courbe de ses reins... Ses cheeux se soulèvent doucement au grès de ces pas... Quel tableau magnifique... Elle tourne à gauche, prend la première allée et disparaît au milieu des fleurs...du parc Monceau...

Ouf !!! J'ai du mal à reprendre mes esprits... Que fais-je ? L'appeler de suite serait mal venu... Par contre, par contre...lui adresser un petit SMS...me semble, au contraire, parfaiement approprié...

Je prends mon Iphone...
Moi : Merci Mademoiselle pour ce délicieux moment...

La réponse ne tarde pas à arriver...
Elle : De rien, cela a été un plaisir.
Moi : Plaisir partagé Mademoiselle.
Elle : Merci
Moi : De rien, vraiment de rien car vous êtes ravissante, extrêmement ravissante.
Elle : Merci.

Quelques secondes passent avant qu'elle m'envoie ceci.
Elle : Puis-je vous faire un compliment ?
Moi : Je suis parfaitement disposé à le recevoir...
Elle : Je vous ai trouvé très élégant et très beau !
Moi : Merci mais je ne sais quoi répondre. Vous me troublez Mademoiselle...
Elle : Invitez moi à prendre un verre, tout simplement.

Je ferme les yeux... J'adore...
Moi : On se retrouve à 17h00 à l'endoit où l'on s'est rencontré ?
Elle : Parfait pour moi.
Moi : Merveilleux. Je vous embrasse Mademoiselle...
Elle : Moi aussi...Monsieur...

..........que m'arrive-t-il ? Je souris tout seul face à cet écran, à lire et relire ces SMS... Incroyable...

Holà, 12h20...et j'ai rendez-vous à 12h30... Je vous laisse amies lectrices, amis lecteurs. Vous avoir fait partager ce moment a été un délice...

Revenez me voir pour la jolie photo que j'ai à vous montrer.

Je vous embrasse.

Benoit