vendredi 24 octobre 2008

Lettre à la femme que j'aime...




Coucou ma jolie chérie,

Je t’écris du train, j’ai du temps, mon esprit vagabonde au rythme des paysages qui défilent. Tout cela me rapproche de toi…

Je ne cesse de penser à toi, à nous, à notre amour et à ce que nous dégageons, ensemble. Je n’ai jamais aimé quelqu’un comme je t’aime, je n’ai jamais embrassé comme je t’embrasse, je n’ai jamais fait l’amour à quelqu’un comme je te fais l’amour… C’est un échange permanent, un respect mutuel, une sensibilité exacerbée…
Tu me passionnes ma beauté, tu me fais vivre des moments magiques. Dans tes bras, je voyage à chacun de nos baisers. Ma vie ne sera pas assez longue pour découvrir, avec toi, tous les chemins de plaisir que me montrent tes hanches, tes seins, tes cuisses, tes épaules, ton cou, tes jolis yeux verts, tes lèvres, ton sexe, tes fesses… tout n’est que invitation au plaisir. J’ai envie de m’installer dans ton corps, de le parcourir, d’y courir, d’y pleurer de bonheur, d’y jouir…

Je suis ému de t’écrire ainsi, ému de tant de passions, de tant de bonheur à tes cotés.

Nous sommes complémentaires et à la fois, si opposés, comme peuvent l’être l’eau et le feu, la mer et le ciel, l’un a besoin de l’autre pour exister, l’autre peut tout aussi le faire disparaître…

Je m’en remets à toi, à ton amour et à notre passion car je sais que tu prendras soin de moi comme je peux prendre soin de toi.

J’aime te sentir épanouie, heureuse, amoureuse, charmante et très jolie, sexy dans les yeux des hommes… Tu exprimes le désir, le sexe, l’amour et la désinvolture, le charme à la française…

Lorsque l’on te regarde, on a envie de te connaître, d’aller voir ce qui se cache derrière ce sourire de charmeuse, ce regard pétillant… Ton corps de femme invite aux caresses, au plaisir de l’amour, de la jouissance…

Tu me plais, tu me plais follement. Je t’aime mon ange, mon bel ange blond comme j’aime à t’appeler. Nous ne nous sommes pas vu hier soir, nous ne nous voyons pas ce soir mais demain soir je suis dans tes bras et tu seras dans mes bras… Je vais te faire l’amour, t’embrasser, te caresser, ouvrir ton sexe avec ma langue, parcourir ton anus avec mon doigt… Tu écarteras les jambes pour mieux me laisser exprimer mon désir et me montrer le tien. Ton sexe se mouille, mélange de ton jus et de ma salive… Tout n’est que invitation à te pénétrer, fort, profondément, intensément jusqu’à la garde de mon sexe, jusqu’à ce que mes testicules viennent frapper tes fesses… Je te vois, fermer les yeux, rougir, suspendre ta respiration au fur et à mesure que mes reins s’avancent, que mon sexe te pénètre encore et encore plus loin. Je ne vais faire qu’un seul mouvement, un seul va et vient mais long, langoureux, millimètres par millimètres, mon sexe pénètre ton sexe… Tu viens, je te sens venir lorsque je viens aussi en toi… J’arrive au bout, je viens butter contre ton vagin… Je pousse encore et je t’écoute, oui je t’écoute venir, je t’écoute gémir puis jouir, surement, doucement mais aussi intensément…intérieurement… Je pousse encore plus loin. Mon gros sexe t’envahi complètement…et je jouis aussi… mon sperme s’écoule dans ton vagin pendant que tes ongles pénètre la chair de mon dos, que ta bouche se pose contre mon coup, que ton cri s’étouffe dans ta bouche… Tu me plaques contre toi, tu me sers très fort comme pour ne faire plus qu’un. Ton plaisir est intense, des frissons parcourent ton dos, ta bouche s’ouvre en grand pour aller chercher l’air, l’oxygène, celui qui va te ramener, petit à petit, à la vie, te sortir de cette vague qui t’a submerger, qui t’a enseveli, qui t’a presque fait mourir de plaisir.

C’est bon, comme c’est terriblement bon… Je continue doucement à jouir, toujours sans bouger…. Moi aussi, je reviens peu à peu de cette mer de plaisir, je m’échoue et reviens à la vie, en essayant, tout comme toi, de recouvrer mes esprits, d’emplir mes poumons…

Au lieu de nous sortir de ce plaisir, nous y restons, nous nous endormons, tous les deux, enlacés, nos sexes communient encore, une odeur se dégage de nos corps…
J’aime ces moments où tout s’arrête, le temps, le stress, les doutes et les peurs… plus rien, plus rien n’a d’importance si ce n’est nous !

Je t’aime ma merveilleuse chérie.

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