Vive les chauves...

...qui s'assument, respirent par le crane, réfléchissent avec leur cerveau... Sont eux-mêmes en somme.

Qu'y a-t-il de plus beau qu'un joli chauve ? Un joli chevelu peut-être, et encore.

Le chauve est gentil, aimable et attentionné.

Mesdemoiselles, prenez un chauve, déshabillez le et allongé, sur le dos, sur un lit...
Regardez le sourire, être heureux. Le chauve adore cela.

Maintenant, vous lui écartez les jambes et les bras... C'est juste pour l'aérer un peu... Le chauve peut parfois sentir fort... Vous verrez alors son sexe se tendre... Phénomène incroyable que je vous révèle, mes amies... Vous refermez ses jambes et son sexe redescend ! Vous les écartez et il remonte. Est-ce l'aération naturelle provoquée lors de l'écartement qui entraine ce phénomène physique ? Je ne sais pas. Ma chérie a beau m'ouvrir, me refermer les jambes, les rouvrir encore et encore, il se passe toujours la même chose sans que l'on sache pourquoi...

Et le chauve, lui, pendant ce temps là souris... les yeux fermés.

Maintenant que vous l'avez là, sous la main, je vous propose cette petite expérience. Vous l'allongez sur le lit de sorte que sa tête soit prêt d'un bord, presque dans le vide... Là vous vous approchez, en reculant, vous pliez les genoux et vous venez poser votre sexe sur son front et le haut du crane... Vous faites un petit mouvement de bassin de l'avant vers l'arrière et vous fermez les yeux... Le chauve adore et vous aussi croyez moi. De temps en temps, vous accentuez le mouvement vers l'arrière de sorte que votre chatte glisse sur son nez et vienne se poser sur sa bouche... Sa langue va alors sortir et fouiller votre intérieur...

Humm, quel bonheur. Le chauve bande dur ! Et vous, vous mouillez mademoiselle.

Avancez à nouveau et recommencez l'expérience. A nouveau sur son crane, vous glisserez encore plus... Le chauve exulte... et il bande toujours dur...

A ce moment là, vous le laissez faire. C'est mécanique. Il se lève, se retourne et de sa queue vous empale profondément. Vous, toujours jambes pliées, recevez sa queue au plus profond de votre vagin, mouillé pour l'occasion...

Étonnamment, bien qu'il soit chauve, son sexe a des poils. Il faut le savoir.

Il pose ses mains sur vos hanches et vous envoie un nombre incroyable de coups de rein. Vous n'en pouvez plus... Encore et encore des coups de rein... Votre sexe s'ouvre au fur et à mesure que le sien se gonfle. Il va plus loin, plus fort... Vous criez, vous hurlez de plaisir... Le chauve accélère encore et jouit, avec vous, se vide dans votre vagin...

Vous êtes là, tous les deux, rompus de plaisir, à ne rien dire... Il sort de votre intérieur, doucement, s'approche de vous et vous prend dans ses bras. Le chauve aime être attentionné.

Il vous sert très fort, vous embrasse dans le coup, caresse vos seins. Il attrape un pull, à coté, le glisse autour de votre coup, enfile vos bras dans les manches, le fait redescendre sur votre corps pour vous mettre au chaud, ne pas avoir froid. Le chauve est attentionné.

Il vous retourne vous embrasse, vous souris. Le chauve est aimant.

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Mes amis les chauves, mes amis les dégarnis (chauve en devenir), soyez vous-mêmes et cessez de vous poser mille questions. Assumez votre particularité physique, vous plaisez ainsi aux femmes... Tout le monde ne le sait pas, mais la chauvitude apporte son lot de mystère, d'envoutement, d'inquiétude... Les femmes adorent ! Un sourire et tout s'efface, elle veulent vous connaître...

Pour vous, les dégarnis, chauve en devenir (J'aime bien cela)... détendez-vous. Le stress augmente la chute des cheveux. Entre nous, vous pouvez vous détendre mais ce n'est pas pour autant qu'ils vont repousser... Désolé ! C'est juste histoire de se détendre parce que stresser ne changera rien. Assumez-me vous tel que vous êtes, voila tout. Je sais, facile à dire, difficile à vivre. Je suis passé par là, je sais de quoi je parle.

Tentez un truc. Vous avez prévu des vacances ? Oui, bien sur, comme tout le monde... Un mois avant, vous allez chez le coiffeur et vous vous faites un coupe plus courte, cheveux moins longs, moins de volume... 15 jours après, vous y retournez, toujours pour la même chose... Histoire de vous habituer à des cheveux plus courts... et les vacances arrivent... Là, c'est le grand saut.

Vous vous glissez sous la douche, un matin, sans rien dire à personne... Vous prenez votre rasoir que vous aurez préparé la veille, posé là, près du lavabo... Sa lame brille. Il vous attend, il sait pourquoi vous l'avez préparé. Il est heureux. Vous ne le savez pas mais lui sait que ce moment va contribuer à votre bien être, à votre bonheur, à vous libérer d'un poids qui pèse sur vos épaules depuis trop d'années...

Vous le saisissez, encore mouillé sous votre douche et vous commencé, doucement, à vous raser. Faite le sans réfléchir. Je vous rappelle que vous êtes en vacances... Vous pouvez vous rassurer en vous disant qu'en une semaine, deux semaines, cela va repousser... Oui, disons cela.

La lame glisse sur votre crane mouillée... De temps en temps, vous passez votre main sur le résultat, chercher le cheveux oublié, la touffe cachée derrière... Encore un petit coup là, ha ici aussi... Et puis, à un moment, plus rien ! Plus rien si ce n'est la sensation d'une peau lisse... Berk.... Autant vous le dire tout de suite, cette sensation est horrible la première fois... On a l'impression de toucher... je ne sais quoi en fait. C'est vraiment troublant. C'est une partie de soi que l'on découvre.

Vous attrapez la serviette la plus proche pour sortir de ce cauchemar... Vous vous essuyez et le moment arrive : vous vous approchez de la glace ! Vous relevez la tête, la sortez de la serviette que vous faites glisser doucement, sur votre front, sur vos yeux, encore fermés, sur votre nez. Vos mains s'arrêtent sur votre bouche... Votre souffle est chaud, vous le sentez à travers le tissu de la serviette... Vos yeux sont toujours fermés... A la fois vous n'osez pas regarder, à la fois, vous voulez savoir...

Vous vous jetez dans le vide, la serviette toujours sur la bouche... Le cri d'horreur que vous allez faire ne réveillera personne, au cas où... Vos paupières se lèvent doucement... La lumière pénètre vos pupilles, la netteté se fait pour voir le bas du miroir... votre bas ventre apparaît... humm pas mal... Vous levez la tête doucement, maintenant votre ventre... ha cette brioche de malheur... Il faut vraiment que je me remette à faire des abdos moi... votre torse... humm un torse de mec... la serviette, vous la voyez dans le miroir, c'est le signe que vous approchez... Et là, vous ne tenez plus, vous levez la tête...

....

Le temps ralentit. La serviette, dans un mouvement lent, tombe au sol, sur vos pieds. Vos mains sont sur vos joues, vos yeux se regardent. Vous ne souriez pas de tant de surprise, de stress... Vous vous regardez, vous vous approchez du miroir, tournez la tête vers la droite, vers la gauche, vers le bas... Vos mains se posent, à plat, sur le rebord du lavabo... Vous vous approchez encore... Étonnamment, vous vous sentez bien... et vous vous trouvez beau !
En plus de vos cheveux, votre rasoir a retiré un poids. Il avait raison, vous le regardez en souriant. Votre main droite parcourt votre crane, devant, derrière, sur les cotés, tout est lisse. C'est presque agréable. Vous commencez à vous habituez... Vous vous souriez. Vous vous sentez bien, merveilleusement bien. Pourquoi ne l'ai-je pas fait plus tôt ? Tout s'envole, les doutes, les questions, le jugement des autres, de vos amis, de votre famille... Qu'importe, vous vous sentez bien, vous vous moquez bien de ce que les autres vont dire, penser ou faire. C'est votre vie, votre choix, votre bien être...

Vous êtes heureux. Vous avez balayé, en quelques coups de rasoir, un poids de plusieurs années sur vos épaules. "Bordel, pourquoi ne l'ai-je pas fait plus tôt ?"

Vous vous baissez pour récupérer la serviette au sol que vous nouez autour de votre taille. Vous vous regardez, vous vous sentez un autre homme... C'est l'occasion de le faire savoir à votre tendre aimée... Vous sortez de la salle de bain...



Mes amis, ce texte est pour vous. Il m'a été inspiré lors d'un échange sur Msn avec quelqu'un qui se reconnaitra. J'ai vécu tout cela. Je sais par quoi l'on passe. Je vous encourage à vous libérer de tout mon coeur. Vous ne vous sentirez que mieux.

Bises à vous hommes !

Benoit